Chemical composition of the periderm in relation to in situ water absorption rates of oak, beech and spruce fine roots
On a mesuré, in situ, avec des sondes miniaturisées de flux de sève, pendant 11 jours consécutifs, l'absorption d'eau par les extrêmités des racines de sujets adultes de chêne, hêtre et épicéa. Celle-ci a été ensuite mise en relation avec le contenu en subérine du périderme des petites rac...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Annals of forest science. 2003-12, Vol.60 (8) |
---|---|
Hauptverfasser: | , , , , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | On a mesuré, in situ, avec des sondes miniaturisées de flux de sève, pendant 11 jours consécutifs, l'absorption d'eau par les extrêmités des racines de sujets adultes de chêne, hêtre et épicéa. Celle-ci a été ensuite mise en relation avec le contenu en subérine du périderme des petites racines. Toutes ces petites racines présentaient un périderme bien développé, sans racines primaires blanches. Les différentes espèces se classent pour le prélèvement d'eau moyen dans l'ordre décroissant suivant: hêtre, épicéa, chêne. Les racines de chêne contenaient deux fois plus de subérine et comportaient un périderme plus épais que le hêtre. Leur prélèvement d'eau était en moyenne plus faible (201 contre 508 g/m2 de surface racinaire et par jour). Cependant, l'épicéa, avec un contenu de subérine 2 à 7 fois inférieur, présentait un taux de prélèvement plus faible (346 g/m2 et par jour) que le hêtre qui a pourtant plus de subérine. On en conclue que la relation entre la composition chimique du périderme et l'absorption d'eau n'est que faible pour les trois espèces. D'autres facteurs, tels que la résistance hydraulique à l'interface sol/racines, ou l'importance des gradients de potentiels hydriques, pourraient jouer un rôle plus important pour la régulation du prélèvement d'eau |
---|---|
ISSN: | 1286-4560 1297-966X |