Tracking an invasive honey bee pest: mitochondrial DNA variation in North America small hive beetles

Le Petit Coléoptère des ruches (PCR), Aethina tumida Murray (Coleoptera, Nitidulidae), se nourrit de pollen et de miel et détruit les rayons des colonies d'abeilles domestiques (Apis mellifera L.). Ces PCRs, originaires d'Afrique, ont été trouvés pour la première fois aux Etats-Unis en 199...

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Veröffentlicht in:Apidologie 2003-03, Vol.34 (2)
Hauptverfasser: Evans, J.D. ((United States Agricultural Department, Beltsville (Etats Unis). Agricultural Research Services, Bee Research Laboratory)), Pettis, J.S, Hood, W.M, Shimanuki, H
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Le Petit Coléoptère des ruches (PCR), Aethina tumida Murray (Coleoptera, Nitidulidae), se nourrit de pollen et de miel et détruit les rayons des colonies d'abeilles domestiques (Apis mellifera L.). Ces PCRs, originaires d'Afrique, ont été trouvés pour la première fois aux Etats-Unis en 1996. En six ans ils se sont répandus dans au moins 25 états des Etats-Unis, provoquant des pertes de colonies dans toute la région du sud-est. Dans ce travail On a utilisé la variation du gène mitochondrial COI pour décrire les populations de PCRs. Les séquences de l'ADN mitochondrial placent les populations de PCRs des Etats-Unis au sein d'un clade de coléoptères d'Afrique du Sud. Il est intéressant de noter que deux haplotypes distincts existent aux Etats-Unis. Une récolte de 539 PCRs dans 26 ruchers répartis en Floride, Géorgie, Caroline du Nord et du Sud a montré des répartitions irrégulières de ces deux haplotypes dans la région du sud est des Etats-Unis. Les PCRs des premières récoltes faites en Caroline du Sud présentaient une fréquence élevée de l'haplotype NA1, haplotype généralement rare en Floride et en Géorgie et absent de l'échantillon de Caroline du Nord. Les récoltes récentes en Caroline du Sud ressemblent plus à celles des autres états. La taille corporelle des PCRs n'est pas corrélée à l'haplotype, ce qui suggère que la fréquence des haplotypes ne reflète pas les pressions de sélection sur les différences covariantes dans les génomes de ces PCRs. On discute des implications qu'ont ces résultats dans les problèmes suivants : déduction du nombre d'introductions séparées de ces PCRs aux Etats-Unis, identification de nouvelles introductions et estimation de la dynamique de migration des PCRs au fur et à mesure qu'il étendent leur aire de répartition dans le Nouveau Monde. Les haplotypes des coléoptères des ruches aux États-Unis indiquent, soit deux introductions séparées soit des effets de dérive suivis d'une dispersion extrêmement limitée
ISSN:0044-8435
1297-9678