Note sur l'adoption éventuelle de l'avion français "Mirage IV"

Achat eventuel de l'avion français «Mirage», préféré à d'autres concurrents. Répercussions sur les relations avec la France. Crainte d'éventuelles critiques de la part de l'AELE. - Mögliche Anschaffung des französischen Flugzeugs «Mirage», welches sich gegen andere Konkurrenten d...

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1. Verfasser: Long Olivier (1915-2003) (dodis.ch/P1110)
Format: Web Resource
Sprache:fre
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Zusammenfassung:Achat eventuel de l'avion français «Mirage», préféré à d'autres concurrents. Répercussions sur les relations avec la France. Crainte d'éventuelles critiques de la part de l'AELE. - Mögliche Anschaffung des französischen Flugzeugs «Mirage», welches sich gegen andere Konkurrenten durchsetzte. Auswirkungen auf die Beziehungen zu Frankreich. Befürchtung, dass dieser Entscheid eventuell von der EFTA kritisiert wird. NB: Le document de 1960 comporte une erreur. La Suisse n'a pas envisagé d'acheter le Mirage IV, mais le Mirage III. Sur le bombardier Mirage IV, cf. http://www.dassault-aviation.com/passion/fr/dassault_a_a_z/histoire_aviation/programmes/mirage4.cfm: "Le déroulement du programme Mirage IV peut, à tous égards, être considéré comme exemplaire : les défis techniques ; les performances de vitesse, d'altitude et de rayon d'action ont été conformes aux exigences des clauses techniques ; les qualités de vol ont été considérées comme exceptionnelles par les pilotes utilisateurs ; le système de navigation et de bombardement s'est montré conforme au cahier des charges ; le calendrier, annoncé dès 1958 et considéré comme très serré, a été respecté. Suite à la crise de Suez d'octobre 1956, la France décide d'étudier la mise en place d'une " Force stratégique d'intervention ", dotée d'armes atomiques. Dès son arrivée au pouvoir, en juin 1958, le général de Gaulle précise que la France doit faire seule son arme de " dissuasion à l'agression " et que le vecteur sera un avion d'abord, un engin balistique ensuite. En effet, en dehors de l'effet d'échelle, l'échauffement cinétique est très différent. Le Mirage IV est choisi. Alors que le Mirage III ne peut soutenir Mach 2 que pendant quelques minutes, le Mirage IV doit s'y maintenir très au-delà de la vingtaine nécessaire à la stabilisation des températures sur l'ensemble de la structure externe et dans les caissons internes qui renferment les équipements et les fluides : pétrole et liquide hydraulique. Une étude thermique complète de chaque composant doit donc être entreprise. L'industrie française des équipements fait face à la quasi-totalité des demandes. Les caractéristiques du bombardier, définies conjointement par les services officiels et la société Dassault, sont approuvées le 20 mars 1957. L'allure générale le Mirage IV 01 est très voisine de celle du Mirage III A mais à échelle deux pour sa surface, sa motorisation et son poids à vide. En revanche, il emporte trois fois plus de pétrole interne. Si la définit