L’UQAM, pionnière dans l’enseignement des relations publiques

Les relations publiques ont mis du temps à s’imposer comme champ d’études légitime en communication, notamment en raison des balbutiements de la profession, marqués par des pratiques douteuses sur le plan éthique. S’appuyant sur les développements théoriques des années 1980, dont le modèle de l’exce...

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Veröffentlicht in:Communiquer (Montréal. 2015) 2020, p.47-60
1. Verfasser: Yates, Stéphanie
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:Les relations publiques ont mis du temps à s’imposer comme champ d’études légitime en communication, notamment en raison des balbutiements de la profession, marqués par des pratiques douteuses sur le plan éthique. S’appuyant sur les développements théoriques des années 1980, dont le modèle de l’excellence en relations publiques de James E. Grunig, l’UQAM fait preuve d’audace en mettant sur pied, au milieu des années 1990, le premier programme en Amérique du Nord entièrement consacré à l’enseignement des relations publiques en français. Dès le départ, des liens étroits seront établis entre le programme et les milieux de pratique, ce que concrétise la création de la Chaire de relations publiques et de communication marketing. La recherche associée à ce champ d’études prendra son essor au fil de l’arrivée de professeures et professeurs spécialisés, entre autres, en communication de risque et de crise, en communication politique, en stratégies de médiatisation, en analyse de discours et en usage des médias socionumériques à des fins de relations publiques, faisant de l’UQAM un pôle important dans l’étude de ce champ et une référence pertinente pour les milieux de pratique.
ISSN:2368-9587
DOI:10.4000/communiquer.5129