Capital humain sur la pratique du rasahariaña, rites de partage des biens envers les morts chez les Tsimihety à Madagascar
Résumé: Les rites du rasahariaña ou les rites de partage des biens sont des processus rituels effectués par les Tsimihety et certains groupes ethniques à Madagascar pour l’ancestralité de leurs morts, sinon l’âme d’un défunt qui demande sa part des biens bouleverse l’ordre social. Les biens partagés...
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Veröffentlicht in: | Akofena 2023-09, Vol.3 (9) |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | ger |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Résumé: Les rites du rasahariaña ou les rites de partage des biens sont des processus rituels effectués par les Tsimihety et certains groupes ethniques à Madagascar pour l’ancestralité de leurs morts, sinon l’âme d’un défunt qui demande sa part des biens bouleverse l’ordre social. Les biens partagés sont symbolisés par le sacrifice de zébu. Les rites sacrificiels se réalisent devant la communauté villageoise dirigés par l’orant. C’est durant lesquels ce dernier fait l’invocation de l’esprit des ancêtres d’un défunt qui demande sa part des biens à sa famille afin que son âme soit reçue de la communauté de ses ancêtres. L’intérêt de cette pratique socioreligieuse est l’esprit de partage des richesses au sein d’un groupe entre les humains et entre les humains et les morts. Cette pratique mérite de capitaliser pour le bien-être de la nation malgache afin que le cycle de la vie entre les deux camps ne soit pas aussi interrompu par la mort. Que les ancêtres puissent intervenir d’une manière bénéfique à la vie humaine. Mots-clés : zébu, sacrifice, ancêtres et capital humain |
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ISSN: | 2706-6312 2708-0633 |
DOI: | 10.48734/akofena.n009v3.019.2023 |