Politiques de L’enseignement Supérieur au Brésil et en Suisse
Cet article examine les politiques de l’enseignement supérieur au Brésil et enSuisse, dans le but d’identifier de possibles similitudes dans la mise en place de ces politiques. L’étude a été réalisée au travers de l’analyse de documents portant sur les politiques de l’enseignement supérieur des deux...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Revista diálogo educacional 2020-11, Vol.20 (67) |
---|---|
Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | Cet article examine les politiques de l’enseignement supérieur au Brésil et enSuisse, dans le but d’identifier de possibles similitudes dans la mise en place de ces politiques. L’étude a été réalisée au travers de l’analyse de documents portant sur les politiques de l’enseignement supérieur des deux pays. Avec les réformes effectuées à partir des années 1990, les deux pays ont suivi des chemins différents, la Suisse ayant adhéré au processus de Bologne. Ce fait indique déjà des différences accentuées, mais on peut constater quelques similitudes, que nous avons également rencontrées dans des documents en provenance d’organismes internationaux et de conférences sur l’enseignement supérieur, qui mettent en évidence l’impact de la globalisation sur les différents secteurs de la société. On remarque des similitudes dans l’organisation de l’enseignement supérieur, en particulier en ce qui concerne la diversification institutionnelle et les exigences d’évaluation institutionnelle. Néanmoins, en ce qui concerne la mobilité étudiante, on constate une différence significative, le Brésil ne comptant encore que peu d’étudiants étrangers par rapport à l’ensemble des étudiants immatriculés. Différence marquée, également, en ce qui concerne le financement de l’enseignement supérieur, considérant qu’au Brésil le système est largement privé, au contraire de la Suisse où la part du financement privé dans l’enseignement supérieur n’est que de 20%. Les réformes effectuées sont nombreuses, mais demeure la question de la finalité de l’enseignement supérieur qui, même dans sa dimension professionnelle ne saurait se limiter aux exigences du monde du travail, mais avoir pour finalité une éducation émancipatrice. |
---|---|
ISSN: | 1518-3483 1981-416X |
DOI: | 10.7213/1981-416X.20.067.AO08 |