Corrélation des taux de cortisol dans le sérum, les poils et les fèces chez le dromadaire (Camelus dromedarius)

Alors que cela a été réalisé chez de nombreuses autres espèces de mammifères, chez le dromadaire, l’évaluation du taux de cortisol a été très rarement décrite dans les fèces, et elle ne l’a jamais été dans les poils. L’objectif de cette étude a ainsi été de déterminer, chez cet animal, les taux de c...

Ausführliche Beschreibung

Gespeichert in:
Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Revue d'élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 2016-11, Vol.69 (2), p.87-91
Hauptverfasser: Bargaâ, Rita, Lektib, Islah, Chakir, Youssef, El Abbadi, Najia, Belhouari, Abdarrahmane, Hammoumi, Abdarrahman, Farh, Mohamed, Tahri, El-Hassane, Riad, Fouad, El Mzibri, Mohammed, El Khasmi, Mohammed
Format: Artikel
Sprache:eng
Schlagworte:
Online-Zugang:Volltext
Tags: Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
Beschreibung
Zusammenfassung:Alors que cela a été réalisé chez de nombreuses autres espèces de mammifères, chez le dromadaire, l’évaluation du taux de cortisol a été très rarement décrite dans les fèces, et elle ne l’a jamais été dans les poils. L’objectif de cette étude a ainsi été de déterminer, chez cet animal, les taux de cortisol dans le sérum, les poils et les fèces, et leurs éventuelles corrélations. Les résultats ont montré que le taux de cortisol variait avec la saison et qu’il était significativement (p < 0,05) plus élevé en janvier qu’en mai/juin. Une corrélation positive entre les taux sériques et ceux déterminés dans les poils et les fèces a été notée. Cette corrélation indique que l’analyse du cortisol dans les poils et les fèces reflète l’activité de la corticosurrénale et pourrait être utilisée comme une méthode non-invasive pour évaluer le stress chez le dromadaire.
ISSN:0035-1865
1951-6711
DOI:10.19182/remvt.31184