Elizabeth Gaskell’s and George Eliot’s Common Interest in Two Literary Women of 17th-Century France: Madame de Sablé and Madame de Sévigné
En 1854, Elizabeth Gaskell était déjà une romancière célèbre, mais George Eliot n’avait pas encore mis à l’épreuve ses talents de romancière. Elle n’en était qu’aux débuts de sa carrière littéraire. Marian Evans (comme elle s’appelait, avant d’adopter le nom de plume de George Eliot) était encore ré...
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Veröffentlicht in: | LISA (Caen, France) France), 2009-05, Vol.7, p.186-197 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | En 1854, Elizabeth Gaskell était déjà une romancière célèbre, mais George Eliot n’avait pas encore mis à l’épreuve ses talents de romancière. Elle n’en était qu’aux débuts de sa carrière littéraire. Marian Evans (comme elle s’appelait, avant d’adopter le nom de plume de George Eliot) était encore rédactrice de la Westminster Review. Par une coïncidence intéressante, les deux grandes romancières victoriennes rédigèrent toutes les deux, cette année-là, des articles sur Madame de Sablé, parlant aussi de Madame de Sévigné, deux femmes de lettres remarquables de la France du XVIIe siècle. L’article de Gaskell, « Company Manners », fut publié dans le magazine de Dickens, Household Words ; et celui d’Eliot, « Woman in France : Madame de Sablé », dans la Westminster Review. Le présent article tente d’expliquer l’intérêt de ces deux romancières anglaises pour ces femmes de lettres françaises, qui ont vécu deux siècles avant elles. |
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ISSN: | 1762-6153 |
DOI: | 10.4000/lisa.100 |