Entre l’exil et l’asile : l’inter-dit silencieux dans Le Pavillon des miroirs de Sergio Kokis
Lorsqu’on parle du premier roman de Sergio Kokis, Le Pavillon des miroirs, on souligne à juste titre le caractère autobiographique du roman manifeste par le va-et-vient narratif entre le présent du narrateur/peintre au Québec et le souvenir de sa jeunesse au Brésil ainsi que les enjeux de son exil e...
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Veröffentlicht in: | Voix plurielles 2007-09, Vol.4 (2) |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Lorsqu’on parle du premier roman de Sergio Kokis, Le Pavillon des miroirs, on souligne à
juste titre le caractère autobiographique du roman manifeste par le va-et-vient narratif entre le
présent du narrateur/peintre au Québec et le souvenir de sa jeunesse au Brésil ainsi que les
enjeux de son exil et la nature vive et grotesque des images qui hantent son imagination.
Francine Bordeleau résume ce dernier aspect en disant que « les images sont puissantes,
l’écriture brûlante, et certains passages, paroxystiques atteignent une sorte de fureur. Kokis n’est
pas un tiède » (10). Cependant, on constate également au cours d’une analyse détaillée du roman
l’importance de la question du silence et la place considérable qu’il occupe dans la pensée du
narrateur. |
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ISSN: | 1925-0614 1925-0614 |
DOI: | 10.26522/vp.v4i2.488 |