Les modèles factoriels et la gestion du risque de longévité
L’augmentation constante de l’espérance de vie engendre l’heureux risque de vivre au-delà de nos actifs. Ce risque n’est non seulement pas diversifiable pour les individus, mais il ne l’est que difficilement pour les fonds de pension et les assureurs. Nous illustrons comment différents modèles à fac...
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Veröffentlicht in: | Actualité économique 2015-01, Vol.91 (4), p.531-565 |
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Hauptverfasser: | , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | L’augmentation constante de l’espérance de vie engendre l’heureux risque de vivre au-delà de nos actifs. Ce risque n’est non seulement pas diversifiable pour les individus, mais il ne l’est que difficilement pour les fonds de pension et les assureurs. Nous illustrons comment différents modèles à facteurs peuvent être utilisés afin de valoriser les titres financiers qui permettraient aux fonds de pension de transférer ce risque à d’autres parties. Nous montrons que le risque de longévité, bien que mesurable au moyen d’un modèle en composantes principales, est mieux mesuré au moyen de modèles plus structurels. Néanmoins, le risque de modèle associé à ces modèles structurels demeure tel qu’il est fort possible que la prime que demanderait un assureur pour assumer le risque de longévité soit supérieure à la volonté à payer des promoteurs de fonds de pension. Cet écart pourrait expliquer la quasi-absence de marché pour la gestion du risque de longévité. |
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ISSN: | 0001-771X 1710-3991 |
DOI: | 10.7202/1037212ar |