Pouvoir intime : récit scénaristique, récit filmique
Pour que le film existe, il faut qu’il y ait « transcodage », c’est-à-dire passage d’un mode de signification à un autre. On pourrait dire que le passage du récit scénaristique au récit cinématographique se présente comme une véritable mutation où, d’un être essentiellement de mode nominatif, naîtra...
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Veröffentlicht in: | Cinémas (Montréal) 1991, Vol.2 (1), p.66-91 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Pour que le film existe, il faut qu’il y ait « transcodage », c’est-à-dire passage d’un mode de signification à un autre. On pourrait dire que le passage du récit scénaristique au récit cinématographique se présente comme une véritable mutation où, d’un être essentiellement de mode nominatif, naîtra une créature hybride qui procède à la fois du mode nominatif et du mode représentatif. C’est ce processus de mutation qui est ici abordé, en esquissant une typologie des transformations que peut subir le récit scénaristique lors de sa réécriture sous la forme d’un récit cinématographique, puis au moyen de l’analyse comparative du récit scénaristique et du récit cinématographique du film Pouvoir intime d’Yves Simoneau (scénarisé par Pierre Curzi et Yves Simoneau). |
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ISSN: | 1181-6945 1705-6500 |
DOI: | 10.7202/1001052ar |