La nature dans le Mayse bukh
Dans le Mayse bukh [Livre d’histoires] imprimé à Bâle en 1602, la nature comme création divine joue un rôle fondamental. Elle englobe la flore et la faune qui, en tant que messagères de Dieu et exécutrices de sa volonté, rappellent à l’homme et à la femme ses devoirs sur terre et leur ouvrent les po...
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Veröffentlicht in: | Tsafon (Lille) 2018, Vol.76, p.11-26 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Dans le Mayse bukh [Livre d’histoires] imprimé à Bâle en 1602, la nature comme création divine joue un rôle fondamental. Elle englobe la flore et la faune qui, en tant que messagères de Dieu et exécutrices de sa volonté, rappellent à l’homme et à la femme ses devoirs sur terre et leur ouvrent les portes de la réminiscence originelle et paradisiaque, en Terre d’Israël et plus tard en diaspora. Le savoir sur les plantes deviendra l’apanage de la femme pieuse, tandis qu’à l’homme pieux échoira la connaissance de toute la Torah et des langues, y compris celle des animaux.
In the Mayse bukh, printed in Basel in 1602, nature as divine creation plays a fundamental role. Nature encompasses flora and fauna, both God’s messenger intended to execute His will, who remind mankind of its duties on Earth and guides man and woman in the path to reminiscence of the Paradise, first in Erets Israel, and later in the Diaspora. The science of plants was to become a feminine prerogative specific to the pious woman, whereas the pious man is granted with knowledge of the Torah and the ability to speak all speeches, including the language of the animals. |
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ISSN: | 1149-6630 2609-6420 |
DOI: | 10.4000/tsafon.797 |