La nostalgie de la ville implicite. À la recherche de Venise dans Les villes invisibles d’Italo Calvino et Le Casanova de Fellini de Federico Fellini
Italo Calvino dans Les villes invisibles (1972) et Federico Fellini dans Le Casanova de Fellini (1976) affrontent les mêmes problèmes de représentation : comment surprendre et rendre visible la ville de Venise à travers des mots ou des images-sons en mouvement et comment la fixer sur un support quan...
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Veröffentlicht in: | PRISMI 2021-09 (2), p.209-228 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng ; fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Italo Calvino dans Les villes invisibles (1972) et Federico Fellini dans Le Casanova de Fellini (1976) affrontent les mêmes problèmes de représentation : comment surprendre et rendre visible la ville de Venise à travers des mots ou des images-sons en mouvement et comment la fixer sur un support quand sa qualité primordiale, celle qui fait son unicité et son charme, est sa continuelle évanescence ? Pour les surmonter, Calvino et Fellini adoptent la même stratégie : la constitution progressive de Venise comme ville implicite qui, dans une forme quelconque, se retrouve dans toutes les autres villes, réelles ou fictives. |
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ISSN: | 1270-9530 2680-2678 |
DOI: | 10.4000/prismi.618 |