La diffusion du modèle écomuséal a-t-elle été favorisée par la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ?

L'approbation en 2003 de la Convention de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel représente l'achèvement du processus de compréhension et de définition du patrimoine culturel immatériel commencé dans les années 1970. Les Pays émergents ont sans doute bénéficié d...

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Veröffentlicht in:e-Phaïstos 2020-04 (VIII-1)
1. Verfasser: Da Re, Claudia
Format: Artikel
Sprache:eng ; fre
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Zusammenfassung:L'approbation en 2003 de la Convention de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel représente l'achèvement du processus de compréhension et de définition du patrimoine culturel immatériel commencé dans les années 1970. Les Pays émergents ont sans doute bénéficié de tout cela et ils semblent avoir trouvé dans l'écomusée l'institution qui répond le mieux possible aux exigences de sauvegarde d'un patrimoine lié aux traditions, aux savoir-faire et aux rituels plutôt qu'aux biens culturels. La recherche d'une forme de protection cohérente avec ce patrimoine a réitéré les principes de l'écomuséologie comme étant les plus aptes à implémenter les obligations de la Convention. Cet article cherche à déterminer si les corrélations entre les écomusées et la Convention, existent seulement au niveau du débat scientifique ou s’il y a eu une vraie diffusion des écomusées après la Convention de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
ISSN:2262-7340
2552-0741
DOI:10.4000/ephaistos.7507