L’efficacité de la politique budgétaire et de la politique monétaire dans la gestion macroéconomique des petites économies insulaires en développement : application au cas de Sainte-Lucie

L’efficacité de la politique budgétaire et de la politique monétaire a été pendant longtemps un sujet d’intenses débats théoriques entre keynésiens et monétaristes. Les résultats issus de plusieurs études empiriques n’ont pas été concluants dans le choix à privilégier entre les deux approches, suggé...

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Veröffentlicht in:Etudes caribéennes 2024, Vol.59
1. Verfasser: Dupont, Louis
Format: Artikel
Sprache:eng
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description L’efficacité de la politique budgétaire et de la politique monétaire a été pendant longtemps un sujet d’intenses débats théoriques entre keynésiens et monétaristes. Les résultats issus de plusieurs études empiriques n’ont pas été concluants dans le choix à privilégier entre les deux approches, suggérant qu’aucune des deux politiques n’est jugée supérieure par rapport à l’autre, et que leur efficacité relative dans l’économie dépend des conditions économiques, sociales et politiques existantes dans chaque économie. Cependant, face à cette controverse et à ce dilemme, nous avons cherché à vérifier dans le cas des petites économies insulaires en développement, avec l’exemple de Sainte-Lucie, si les résultats des deux approches sont contrastés et quelles sont les implications en termes de croissance pour ce pays, en évaluant l’efficacité comparative de la politique budgétaire et de la politique monétaire sur l’activité économique dans ce petit état de la Caraïbe. Pour ce faire, un modèle à correction d’erreur a été employé dans un cadre de cointégration, avec des données couvrant la période 1995-2023. Les résultats obtenus montrent que la politique monétaire à Sainte-Lucie apparaît plus efficace dans la stimulation de la croissance économique, comparée à la politique budgétaire. Ils révèlent également que la taille optimale de la dépense publique, mesurée à l’aide de la courbe d’Armey s’élève à 24.2 % du PIB contre un niveau effectif moyen de 22.2 %. Cela implique que l’état à Sainte-Lucie dépense en deçà de son potentiel de croissance. Il en résulte, que pour améliorer l’efficacité globale de la politique économique à Sainte-Lucie, les autorités de ce pays devraient à l’avenir accorder une plus grande attention à la politique budgétaire, en parvenant notamment, à éliminer dans une plus grande proportion la corruption, à lutter contre la fuite des capitaux, et à procéder à une utilisation plus rationnelle des ressources du pays. Enfin, afin d’améliorer l’efficacité globale de la politique macroéconomique à Sainte-Lucie, un « policy-mix » optimal, visant à stimuler la croissance économique dans ce pays a été évaluée et proposée dans cette étude. Les résultats révèlent qu’une politique mixte adéquate et croisée dans le contexte de Sainte-Lucie faciliterait la mise en œuvre d’une bonne politique macroéconomique. The effectiveness of monetary and fiscal policy has been the centre of debate between keynesians and the monetarists for a long time. However, the result
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Les résultats issus de plusieurs études empiriques n’ont pas été concluants dans le choix à privilégier entre les deux approches, suggérant qu’aucune des deux politiques n’est jugée supérieure par rapport à l’autre, et que leur efficacité relative dans l’économie dépend des conditions économiques, sociales et politiques existantes dans chaque économie. Cependant, face à cette controverse et à ce dilemme, nous avons cherché à vérifier dans le cas des petites économies insulaires en développement, avec l’exemple de Sainte-Lucie, si les résultats des deux approches sont contrastés et quelles sont les implications en termes de croissance pour ce pays, en évaluant l’efficacité comparative de la politique budgétaire et de la politique monétaire sur l’activité économique dans ce petit état de la Caraïbe. Pour ce faire, un modèle à correction d’erreur a été employé dans un cadre de cointégration, avec des données couvrant la période 1995-2023. Les résultats obtenus montrent que la politique monétaire à Sainte-Lucie apparaît plus efficace dans la stimulation de la croissance économique, comparée à la politique budgétaire. Ils révèlent également que la taille optimale de la dépense publique, mesurée à l’aide de la courbe d’Armey s’élève à 24.2 % du PIB contre un niveau effectif moyen de 22.2 %. Cela implique que l’état à Sainte-Lucie dépense en deçà de son potentiel de croissance. Il en résulte, que pour améliorer l’efficacité globale de la politique économique à Sainte-Lucie, les autorités de ce pays devraient à l’avenir accorder une plus grande attention à la politique budgétaire, en parvenant notamment, à éliminer dans une plus grande proportion la corruption, à lutter contre la fuite des capitaux, et à procéder à une utilisation plus rationnelle des ressources du pays. Enfin, afin d’améliorer l’efficacité globale de la politique macroéconomique à Sainte-Lucie, un « policy-mix » optimal, visant à stimuler la croissance économique dans ce pays a été évaluée et proposée dans cette étude. Les résultats révèlent qu’une politique mixte adéquate et croisée dans le contexte de Sainte-Lucie faciliterait la mise en œuvre d’une bonne politique macroéconomique. The effectiveness of monetary and fiscal policy has been the centre of debate between keynesians and the monetarists for a long time. However, the results of numerous empirical studies are inconclusive, suggesting that none of the policies can be thought of as superior to the other and their relative effectiveness in any economy depends on the prevailing economic, social and political conditions at any point in time. In spite of this controversy and dilemma, we try to verify in the case of small island developing states, especially Saint Lucia if the results were contrasted, then what would be economic implications in this country. In this context, in order to determine the influence of fiscal and monetary policy on the economic activity in Saint Lucia, we employed a VEC model on the series of yearly data for the period 1995-2023. The results obtained show that monetary policy is more effective in stimulating economic growth compared to fiscal policy. Also, the empirical results point out that the optimal size of government from Armey curve is estimated at 24.4% against a staff level of 22.2%. They show that the state spends below its potential growth. Hence, the overall conclusion is that government should pay more attention to the fiscal policy to improve its efficiency in the future.Finally, in order to improve the macroeconomic effectiveness of these policies, a “policy-mix” is also estimated for stimulating economic growth in this country. This coordination has positive effects on the economic performance of Saint Lucia.</description><identifier>ISSN: 1779-0980</identifier><identifier>EISSN: 1961-859X</identifier><identifier>DOI: 10.4000/132zi</identifier><language>eng</language><ispartof>Etudes caribéennes, 2024, Vol.59</ispartof><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed><cites>FETCH-crossref_primary_10_4000_132zi3</cites></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><link.rule.ids>314,776,780,860,4010,27900,27901,27902</link.rule.ids></links><search><creatorcontrib>Dupont, Louis</creatorcontrib><title>L’efficacité de la politique budgétaire et de la politique monétaire dans la gestion macroéconomique des petites économies insulaires en développement : application au cas de Sainte-Lucie</title><title>Etudes caribéennes</title><description>L’efficacité de la politique budgétaire et de la politique monétaire a été pendant longtemps un sujet d’intenses débats théoriques entre keynésiens et monétaristes. Les résultats issus de plusieurs études empiriques n’ont pas été concluants dans le choix à privilégier entre les deux approches, suggérant qu’aucune des deux politiques n’est jugée supérieure par rapport à l’autre, et que leur efficacité relative dans l’économie dépend des conditions économiques, sociales et politiques existantes dans chaque économie. Cependant, face à cette controverse et à ce dilemme, nous avons cherché à vérifier dans le cas des petites économies insulaires en développement, avec l’exemple de Sainte-Lucie, si les résultats des deux approches sont contrastés et quelles sont les implications en termes de croissance pour ce pays, en évaluant l’efficacité comparative de la politique budgétaire et de la politique monétaire sur l’activité économique dans ce petit état de la Caraïbe. Pour ce faire, un modèle à correction d’erreur a été employé dans un cadre de cointégration, avec des données couvrant la période 1995-2023. Les résultats obtenus montrent que la politique monétaire à Sainte-Lucie apparaît plus efficace dans la stimulation de la croissance économique, comparée à la politique budgétaire. Ils révèlent également que la taille optimale de la dépense publique, mesurée à l’aide de la courbe d’Armey s’élève à 24.2 % du PIB contre un niveau effectif moyen de 22.2 %. Cela implique que l’état à Sainte-Lucie dépense en deçà de son potentiel de croissance. Il en résulte, que pour améliorer l’efficacité globale de la politique économique à Sainte-Lucie, les autorités de ce pays devraient à l’avenir accorder une plus grande attention à la politique budgétaire, en parvenant notamment, à éliminer dans une plus grande proportion la corruption, à lutter contre la fuite des capitaux, et à procéder à une utilisation plus rationnelle des ressources du pays. Enfin, afin d’améliorer l’efficacité globale de la politique macroéconomique à Sainte-Lucie, un « policy-mix » optimal, visant à stimuler la croissance économique dans ce pays a été évaluée et proposée dans cette étude. Les résultats révèlent qu’une politique mixte adéquate et croisée dans le contexte de Sainte-Lucie faciliterait la mise en œuvre d’une bonne politique macroéconomique. The effectiveness of monetary and fiscal policy has been the centre of debate between keynesians and the monetarists for a long time. However, the results of numerous empirical studies are inconclusive, suggesting that none of the policies can be thought of as superior to the other and their relative effectiveness in any economy depends on the prevailing economic, social and political conditions at any point in time. In spite of this controversy and dilemma, we try to verify in the case of small island developing states, especially Saint Lucia if the results were contrasted, then what would be economic implications in this country. In this context, in order to determine the influence of fiscal and monetary policy on the economic activity in Saint Lucia, we employed a VEC model on the series of yearly data for the period 1995-2023. The results obtained show that monetary policy is more effective in stimulating economic growth compared to fiscal policy. Also, the empirical results point out that the optimal size of government from Armey curve is estimated at 24.4% against a staff level of 22.2%. They show that the state spends below its potential growth. Hence, the overall conclusion is that government should pay more attention to the fiscal policy to improve its efficiency in the future.Finally, in order to improve the macroeconomic effectiveness of these policies, a “policy-mix” is also estimated for stimulating economic growth in this country. 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Les résultats issus de plusieurs études empiriques n’ont pas été concluants dans le choix à privilégier entre les deux approches, suggérant qu’aucune des deux politiques n’est jugée supérieure par rapport à l’autre, et que leur efficacité relative dans l’économie dépend des conditions économiques, sociales et politiques existantes dans chaque économie. Cependant, face à cette controverse et à ce dilemme, nous avons cherché à vérifier dans le cas des petites économies insulaires en développement, avec l’exemple de Sainte-Lucie, si les résultats des deux approches sont contrastés et quelles sont les implications en termes de croissance pour ce pays, en évaluant l’efficacité comparative de la politique budgétaire et de la politique monétaire sur l’activité économique dans ce petit état de la Caraïbe. Pour ce faire, un modèle à correction d’erreur a été employé dans un cadre de cointégration, avec des données couvrant la période 1995-2023. Les résultats obtenus montrent que la politique monétaire à Sainte-Lucie apparaît plus efficace dans la stimulation de la croissance économique, comparée à la politique budgétaire. Ils révèlent également que la taille optimale de la dépense publique, mesurée à l’aide de la courbe d’Armey s’élève à 24.2 % du PIB contre un niveau effectif moyen de 22.2 %. Cela implique que l’état à Sainte-Lucie dépense en deçà de son potentiel de croissance. Il en résulte, que pour améliorer l’efficacité globale de la politique économique à Sainte-Lucie, les autorités de ce pays devraient à l’avenir accorder une plus grande attention à la politique budgétaire, en parvenant notamment, à éliminer dans une plus grande proportion la corruption, à lutter contre la fuite des capitaux, et à procéder à une utilisation plus rationnelle des ressources du pays. Enfin, afin d’améliorer l’efficacité globale de la politique macroéconomique à Sainte-Lucie, un « policy-mix » optimal, visant à stimuler la croissance économique dans ce pays a été évaluée et proposée dans cette étude. Les résultats révèlent qu’une politique mixte adéquate et croisée dans le contexte de Sainte-Lucie faciliterait la mise en œuvre d’une bonne politique macroéconomique. The effectiveness of monetary and fiscal policy has been the centre of debate between keynesians and the monetarists for a long time. However, the results of numerous empirical studies are inconclusive, suggesting that none of the policies can be thought of as superior to the other and their relative effectiveness in any economy depends on the prevailing economic, social and political conditions at any point in time. In spite of this controversy and dilemma, we try to verify in the case of small island developing states, especially Saint Lucia if the results were contrasted, then what would be economic implications in this country. In this context, in order to determine the influence of fiscal and monetary policy on the economic activity in Saint Lucia, we employed a VEC model on the series of yearly data for the period 1995-2023. The results obtained show that monetary policy is more effective in stimulating economic growth compared to fiscal policy. Also, the empirical results point out that the optimal size of government from Armey curve is estimated at 24.4% against a staff level of 22.2%. They show that the state spends below its potential growth. Hence, the overall conclusion is that government should pay more attention to the fiscal policy to improve its efficiency in the future.Finally, in order to improve the macroeconomic effectiveness of these policies, a “policy-mix” is also estimated for stimulating economic growth in this country. This coordination has positive effects on the economic performance of Saint Lucia.</abstract><doi>10.4000/132zi</doi></addata></record>
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language eng
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source DOAJ Directory of Open Access Journals; OpenEdition Freemium for Journals; EZB-FREE-00999 freely available EZB journals; Jstor Journals Open Access; OpenEdition Journals
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