Estimation des hospitalisations en urgence pour mesurer les effets à court terme de la pollution atmosphérique : qualité des données issues du PMSI

RésuméPour l’étude des effets à court terme de la pollution atmosphérique, le programme Erpurs utilise les données d’hospitalisations issues du PMSI. Or cette source de données ne permet pas de faire la distinction entre les hospitalisations en urgence et les admissions programmées, qui a priori n’o...

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Veröffentlicht in:Santé publique (Vandoeuvre-lès-Nancy, France) France), 2009-06, Vol.21 (2), p.147-158
Hauptverfasser: Bois de Fer, Béatrice, Host, Sabine, Chardon, Benoît, Chatignoux, Édouard, Beaujouan, Laure, Brun-Ney, Dominique, Grémy, Isabelle
Format: Artikel
Sprache:fre
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Zusammenfassung:RésuméPour l’étude des effets à court terme de la pollution atmosphérique, le programme Erpurs utilise les données d’hospitalisations issues du PMSI. Or cette source de données ne permet pas de faire la distinction entre les hospitalisations en urgence et les admissions programmées, qui a priori n’ont pas de lien immédiat avec la pollution atmosphérique. Cette étude vise à déterminer en quelle mesure les admissions programmées affectent la qualité de l’indicateur sanitaire utilisé pour estimer les effets de la pollution atmosphérique. Pour cela, cet indicateur est comparé à trois nouveaux indicateurs d’hospitalisations en urgence reconstruits à partir des données de l’Assistance publique – hôpitaux de Paris, d’une part issues du PMSI, et d’autre part du réseau cyber urgences regroupant les services d’urgences informatisés. Selon la pathologie, les admissions programmées introduiraient un bruit rendant difficile la mise en évidence des risques les plus faibles.
ISSN:0995-3914
2104-3841
DOI:10.3917/spub.092.0147