Entre devoir de réserve et liberté d’expression, un équilibre précaire pour les enseignants: obs. sous Cour eur. dr. h., décision Mahi c. Belgique , 3 septembre 2020
Le droit à la liberté d’expression, s’il est fondamental dans une société démocratique, n’est cependant pas absolu. Les agents de la fonction publique, parmi lesquels se trouvent les enseignants, sont particulièrement susceptibles de subir des ingérences dans l’exercice de ce droit, en raison des de...
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Veröffentlicht in: | Revue trimestrielle des droits de l'homme 2021-01, Vol.N° 125 (1), p.167-184 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le droit à la liberté d’expression, s’il est fondamental dans une société démocratique, n’est cependant pas absolu. Les agents de la fonction publique, parmi lesquels se trouvent les enseignants, sont particulièrement susceptibles de subir des ingérences dans l’exercice de ce droit, en raison des devoirs et responsabilités particuliers qui pèsent sur leurs épaules. Dans la décision Mahi c. Belgique du 3 septembre 2020, la Cour européenne des droits de l’homme réaffirme ces principes avec force, tout en rappelant les balises qui doivent nécessairement encadrer de telles restrictions. |
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ISSN: | 0777-3579 |
DOI: | 10.3917/rtdh.125.0167 |