Des Cahiers à l’enseigne du Soleil Noir
Poète, performeur et essayiste, Jean-Michel Goutier évoque un aspect très méconnu des éditions le Soleil noir animées par François di Dio dont il fut collaborateur. Éditeur de livres-objets qui s’inscrivent dans l’héritage du surréalisme publia, le Soleil noir publia aussi des « cahiers ». Ce furent...
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Veröffentlicht in: | Revue des revues (Paris, France : 1986) France : 1986), 2014, Vol.51 (1), p.14-25 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Poète, performeur et essayiste, Jean-Michel Goutier évoque un aspect très méconnu des éditions le Soleil noir animées par François di Dio dont il fut collaborateur. Éditeur de livres-objets qui s’inscrivent dans l’héritage du surréalisme publia, le Soleil noir publia aussi des « cahiers ». Ce furent d’abord, les Cahiers Le Soleil Noir-Positions (1951-1953) dirigés par Charles Autrand (aux thématiques classiques : « La révolte en question », « la peine de mort », « l’art en question »…), auxquels succèdent en 1967, les Cahiers Noirs du Soleil qui proposent un dossier « LSD Mandala » puis s’émancipent de manière de plus en plus résolue de la forme classique de la revue ; l’objet le plus radical fut « L’internationale Hallucinex », n° 3 de la série. Ces cahiers furent pour Goutier le point de jonction entre son activité militante et son engagement dans le mouvement surréaliste. |
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ISSN: | 0980-2797 2649-7751 |
DOI: | 10.3917/rdr.051.0014 |