Emprise financière et internationalisation des groupes français : un premier état des lieux
Au cours des dernières décennies, les directions des sociétés mères ont renforcé les processus de centralisation et de gestion des actifs financiers au sein des grands groupes industriels français, y compris sous la forme hautement liquide de l’accumulation de trésorerie valorisée à court terme sur...
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Veröffentlicht in: | La Revue de l'IRES 2014-01, Vol.82 (3), p.111-139 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Au cours des dernières décennies, les directions des sociétés mères ont renforcé les processus de centralisation et de gestion des actifs financiers au sein des grands groupes industriels français, y compris sous la forme hautement liquide de l’accumulation de trésorerie valorisée à court terme sur les marchés financiers.Cette évolution est allée de pair avec l’intensification de leur internationalisation dont témoigne la croissance de leurs investissements directs à l’étranger (IDE). Les IDE ne sont pas seulement les principaux vecteurs de transferts d’activités de production à l’étranger. Ils facilitent également une importante circulation financière interne aux groupes, source de profits qui reposent notamment sur le développement d’échanges de prestations de services et d’activités localisées dans les « centres financiers extraterritoriaux ». |
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ISSN: | 1145-1378 2104-3698 |
DOI: | 10.3917/rdli.082.0111 |