Du « mal blanchi » au frère de couleur. Images évolutives de « l’indigène » chez Jijé
Au début de sa carrière, Jijé s’est situé dans la lignée de Tintin au Congo , en mettant en scène des aventures coloniales marquées par des relations paternalistes entre Européens et « indigènes ». Mais il a rapidement évolué, et créé en 1939 un duo de papier équilibré : Blondin et Cirage. Chrétien...
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Veröffentlicht in: | Outre-mers (Saint-Denis) 2016-12, Vol.392-393 (2), p.69-86 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Au début de sa carrière, Jijé s’est situé dans la lignée de Tintin au Congo , en mettant en scène des aventures coloniales marquées par des relations paternalistes entre Européens et « indigènes ». Mais il a rapidement évolué, et créé en 1939 un duo de papier équilibré : Blondin et Cirage. Chrétien convaincu, il a sans doute été influencé par un esprit de fraternité de plus en plus évident au sein de la littérature missionnaire. D’ailleurs, dans Le nègre blanc , épisode de Blondin et Cirage paru en 1951, il fait plus l’apologie de l’évangélisation que celle de la colonisation. |
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ISSN: | 1631-0438 2275-4954 |
DOI: | 10.3917/om.162.0069 |