Le financement par le capital risque en Tunisie : réalités et contraintes
Présentant un savoir-faire à fort contenu scientifique, des investissements en R&D relativement très importants, sources d’une grande capacité d’innovation, et caractérisées par une structure organisationnelle souple, les entreprises innovantes jouent un rôle crucial dans le processus de transfo...
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Veröffentlicht in: | Marché et organisations 2016-05, Vol.26 (2), p.153-188 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Présentant un savoir-faire à fort contenu scientifique, des investissements en R&D relativement très importants, sources d’une grande capacité d’innovation, et caractérisées par une structure organisationnelle souple, les entreprises innovantes jouent un rôle crucial dans le processus de transformation des connaissances scientifiques en innovations industrielles. Néanmoins, il semble que la croissance, voire la survie de ces organisations industrielles innovantes soient entravées par un certain nombre de difficultés, notamment par des problèmes de financement. Face à ce constat, le capital-risque se présente comme un procédé de financement en fonds propres le plus approprié pour soutenir les entreprises à fort potentiel de croissance, qui présentent parallèlement un risque de défaillance relativement important. L’objet de cet article est d’analyser les mécanismes financiers du marché du Capital-Risque en Tunisie, en mettant l’accent sur le rôle de ses acteurs, notamment des Sociétés d’Investissements dans le Capital Risque (SICAR) appliqué au contexte tunisien, leurs logiques de fonctionnement, ainsi que la spécificité des problèmes qu’ils rencontrent lors des différentes phases d’investissement des projets innovants. Classification JEL : G24, M13. |
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ISSN: | 1953-6119 2264-525X |
DOI: | 10.3917/maorg.026.0153 |