Familiarité et connaissance du terrain en ethnographie de l'école. L'ancien instituteur est-il meilleur ethnographe ?
RésuméL’auteur, ancien instituteur, examine les rapports entre sa con-naissance « intime » du monde de l’école, acquise au cours de son expérience professionnelle antérieure, et son travail de recherche. Cette entrée est l’occasion d’examiner la question plus générique des rapports entre la nature d...
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Veröffentlicht in: | Les Sciences de l'éducation - Pour l'Ère nouvelle 2005-02, Vol.38 (1), p.75-92 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | RésuméL’auteur, ancien instituteur, examine les rapports entre sa con-naissance « intime » du monde de l’école, acquise au cours de son expérience professionnelle antérieure, et son travail de recherche. Cette entrée est l’occasion d’examiner la question plus générique des rapports entre la nature de la familiarité avec le terrain et la recherche ethnographique. L’étude de ces rapports conduit à poser un certain nombre de questions méthodologiques et épistémologiques. L’auteur examine différentes formes de la familiarité et leurs effets spécifiques sur la recherche. Sans dire que l’affiliation, lointaine ou récente, est une condition de la recherche ethnographique, il soutient qu’une certaine forme de familiarité (non instrumentale) s’avère nécessaire pour rapprocher, sans les confondre, le monde du chercheur et le monde du praticien. |
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ISSN: | 0755-9593 2259-3764 |
DOI: | 10.3917/lsdle.381.0075 |