Du patrimoine matériel au patrimoine culturel immatériel en Picardie : les ratés d’un « bottom/up » ?
Le patrimoine ethnologique, puis le Patrimoine culturel immatériel (PCI) ont souvent été au cœur des nouvelles fabriques patrimoniales depuis une trentaine d’années, sous l’impulsion notamment d’acteurs non-institutionnels comme les associations. Mais ce n’est pas le cas partout. À partir d’une enqu...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Ethnologie française 2022, Vol.52 (3), p.525-541 |
---|---|
Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | Le patrimoine ethnologique, puis le Patrimoine culturel immatériel (PCI) ont souvent été au cœur des nouvelles fabriques patrimoniales depuis une trentaine d’années, sous l’impulsion notamment d’acteurs non-institutionnels comme les associations. Mais ce n’est pas le cas partout. À partir d’une enquête menée en Picardie (Aisne et Somme), cet article s’interroge sur les raisons pour lesquelles, dans cette région, les associations patrimoniales se sont surtout créées autour du Monument et de la « grande » histoire tandis que les tentatives des institutions culturelles ou politiques de patrimonialiser des lieux industriels, des pratiques ou des objets populaires n’ont guère rencontré d’écho. |
---|---|
ISSN: | 0046-2616 2101-0064 |
DOI: | 10.3917/ethn.223.0525 |