Aisance et fragilités dans l’analyse de sa propre activité
La notion de familiarité du terrain de recherche est investiguée du point de vue de sa pertinence à travers le regard du professionnel et formateur devenu apprenti-chercheur puis chercheur et qui analyse sa propre activité dans une visée de création de savoir. L’article s’intéresse aux aspects suiva...
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Veröffentlicht in: | Éducation Permanente 2024-09, Vol.N° 240 (3), p.99-111 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | La notion de familiarité du terrain de recherche est investiguée du point de vue de sa pertinence à travers le regard du professionnel et formateur devenu apprenti-chercheur puis chercheur et qui analyse sa propre activité dans une visée de création de savoir. L’article s’intéresse aux aspects suivants : comment un milieu de travail d’une grande familiarité peut faire terrain de recherche ? Qu’offre-t-il de plus ou de moins à l’analyste qu’un terrain inconnu ? Quels sont les avantages de l’observation en terrain familier Quels sont les points aveugles et les angles morts que ce type de familiarité induit ou comment l’intimité établie avec le terrain peut faire obstacle à l’observation et à l’analyse et donc à la découverte ? Les auteurs réutilisent les traces de deux autoanalyses de l’activité dans deux contextes distincts (l’activité d’enseignement et un épisode de la vie courante), et sous l’angle d’une double participation d’observateur et d’observé. |
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ISSN: | 0339-7513 |
DOI: | 10.3917/edpe.240.0099 |