Les relations canoniques entre ministres ordonnés et laïcs exerçant des charges ecclésiales
La question des « relations canoniques entre ministres ordonnés et laïcs exerçant des charges ecclésiales » induit l'idée de rapports prédéterminés, régulés et contrôlés par le droit canonique, avec en arrière plan les enseignements théologiques et ecclésiologiques du Magistère, en particulier...
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Veröffentlicht in: | L'Année canonique 2010, Vol.LII (1), p.315-330 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | La question des « relations canoniques entre ministres ordonnés et laïcs exerçant des charges ecclésiales » induit l'idée de rapports prédéterminés, régulés et contrôlés par le droit canonique, avec en arrière plan les enseignements théologiques et ecclésiologiques du Magistère, en particulier ceux du concile Vatican II, la notion de « Peuple de Dieu » telle qu'elle est présentée dans la Constitution Lumen Gentium et la distinction opérée dans cette même constitution entre « sacerdoce commun des fidèles et sacerdoce ministériel ou hiérarchique » (LG 10). Dans un premier temps, l'auteur observe que la nature fondamentale des relations entre clercs et laïcs exerçant des charges ecclésiales correspond à une coopération éclairée par la notion de « ministerium » comprise au sens large de « servitium ». D'un point de vue canonique, il remarque ensuite que la préoccupation au sujet du statut des personnes doit, tout autant, être complétée par l'objectivation des tâches à accomplir et leurs qualifications juridiques. Plus spécifiquement, il souligne la contribution que peut apporter le droit particulier diocésain dans ce travail de clarification. Enfin, il observe que le rapport au Christ Tête éclaire de façon déterminante les relations canoniques entre clercs et laïcs exerçant des charges ecclésiales. |
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ISSN: | 0570-1953 |
DOI: | 10.3917/cano.052.0315 |