DEAD QUEERS: One Legacy of the Trope of "Mind Over Matter" in the Films of David Cronenberg
À partir des idées de Thomas Waugh, qui suggére de rendre «queer» les canons du cinéma canadien, cet article questionne la notion populaire et postmoderniste que le cinéma de David Cronenberg est radical et que ses héros sont transgressifs. En résponse à la proposition de Waugh de changer la perspec...
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Veröffentlicht in: | Canadian journal of film studies 1999-04, Vol.8 (1), p.45-62 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | À partir des idées de Thomas Waugh, qui suggére de rendre «queer» les canons du cinéma canadien, cet article questionne la notion populaire et postmoderniste que le cinéma de David Cronenberg est radical et que ses héros sont transgressifs. En résponse à la proposition de Waugh de changer la perspective théorique actuelle de l'étude masculiniste du cinéma canadien, qui adopte le préjugé hétéronormatif des débuts du féminisme, en lui substituant un discours social plus inclusive basé sur les concepts «queer» du continuum homosocial, du désir homosocial et de l'homophobie, cet article esquisse les bases d'une lecture dialogique/féministe/«queer» des films de cet auteur apparemment progressiste, mais dont l'œuvre est joncher d'homosexuels morts. Plutôt qu'un cinéma de libération et de transformation masculines, l'œuvre de Cronenberg se révéle comme romantique, phallique et narcissique dans son traitemement hystérique du corps et de l'autre «queer» féminisé. |
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ISSN: | 0847-5911 2561-424X |
DOI: | 10.3138/cjfs.8.1.45 |