L’écomusée Nega Vilma : un patrimoine immatériel du haut de la favela de Santa Marta
L’écomusée Nega Vilma dialogue avec de multiples acteurs et auteurs sociaux. Son nom est porteur de la densité d’une mémoire résistante, que l’on ne rencontre pas dans les musées nationaux du pays ; de l’empreinte d’une femme brésilienne, noire, pauvre et habitante de la favela ; de questionnements...
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Veröffentlicht in: | Les Cahiers de Muséologie 2022, p.158-172 |
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Hauptverfasser: | , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | L’écomusée Nega Vilma dialogue avec de multiples acteurs et auteurs sociaux. Son nom est porteur de la densité d’une mémoire résistante, que l’on ne rencontre pas dans les musées nationaux du pays ; de l’empreinte d’une femme brésilienne, noire, pauvre et habitante de la favela ; de questionnements qui renvoient aux structures hégémoniques du pouvoir dans le pays, aux discriminations, à l’histoire culturelle provenant d’une soi-disant « périphérie », qui gagne progressivement en « centralité ».
Nega Vilma Ecomuseum dialogues with multiple social actors e authors. Its name bears the density of a resistant memory that is not present in the country’s national museums. Its name brings the marks of a Brazilian woman, black, poor and living in a favela; it brings up questions that allude to the hegemonic power structures of the country, to discrimination, to the cultural history coming from the so-called "periphery", that afterwards gains "centrality". |
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ISSN: | 2406-7202 |
DOI: | 10.25518/2406-7202.1279 |