Biologie de la Larve Planidium de Villa Brunnea, Diptère Bombyliide, Parasite de la Processionnaire du Pin. III. Le Début de la Vie Endoparasitaire du Planidium, les Réactions de l'Hôte et les Échecs du Parasitisme

The endoparasitic life of Villa brunnea in the pupae of the pine processionary moth, Thaumetopoea pityocampa, begins by a « fixed period », 25 minutes to 20 days long, during which the planidium stays joined with the host integument, generally does not eat, and undergoes important physiological tran...

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Veröffentlicht in:Annales de la Société entomologique de France 1979-07, Vol.15 (3), p.525-551
1. Verfasser: Du Merle, Paul
Format: Artikel
Sprache:fre
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Beschreibung
Zusammenfassung:The endoparasitic life of Villa brunnea in the pupae of the pine processionary moth, Thaumetopoea pityocampa, begins by a « fixed period », 25 minutes to 20 days long, during which the planidium stays joined with the host integument, generally does not eat, and undergoes important physiological transformations. At the beginning of this fixed period, the host pupa often reacts by siphonogenesis. A « reactive sheath » is then built round the planidium. The length of this sheath varies from 0 to 3,2 mm. Some planidia die during their fixed period or shortly later, because of a defective adaptation to their host or of superparasitism. Encapsulation goes generally together with their death, but it is only a consequence of a pre-existant and irreversible weaking of the larvae. La vie endoparasitaire de Villa brunnea dans les chrysalides de Thaumetopoea pityocampa débute par une « phase fixée », d'une durée de 25 minutes à 20 jours, au cours de laquelle le planidium reste solidaire des téguments de son hôte, ne s'alimente généralement pas et subit des transformations physiologiques importantes. La chrysalide réagit souvent par siphonogenèse. Il se forme alors un « étui réactionnel » autour du planidium. La longueur de cet étui varie de 0 à 3,2 mm. Certains planidiums meurent au cours de leur phase fixée ou peu après, en raison d'une mauvaise adaptation à l'hôte ou du superparasitisme. Ils sont généralement encapsulés, mais cette réaction de l'hôte n'est que la conséquence de leur affaiblissement préexistant et irréversible.
ISSN:0037-9271
2168-6351
DOI:10.1080/21686351.1979.12278724