De l’utilisation d’échantillons humides en porosimétrie au mercure
Les échantillons placés dans un porosimètre à mercure sont classiquement ou bien séchés ou bien lyophilisés avant expérience. Ces techniques d’analyse permettent d’avoir accès à la totalité du spectre de distribution des tailles des pores connectés. Dans le cas de roches très raides et peu poreuses,...
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Veröffentlicht in: | Revue française de géotechnique 2005 (111), p.77-83 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Les échantillons placés dans un porosimètre à mercure sont classiquement ou bien séchés ou bien lyophilisés avant expérience. Ces techniques d’analyse permettent d’avoir accès à la totalité du spectre de distribution des tailles des pores connectés. Dans le cas de roches très raides et peu poreuses, cette procédure expérimentale avec lyophilisation ou séchage risque de créer artificiellement des microfissures nouvelles altérant le réseau poreux initial, surtout si le séchage n’est pas suffisamment lent. Ce travail étudie donc la faisabilité d’essais sur échantillons humides afin d’appréhender au mieux le réseau de pore connecté « vrai ».
Samples studied using mercury intrusion porosimetry are usually previously dehydrated by using either simple air drying or freeze-drying before testing. This technique is aimed at characterizing the pore-size distribution of the sample. In case of low porosity hard claystones, this procedure with drying may artificially introduce microcracks, modifying the natural pore distribution in the sample. This paper studies the feasibility of mercury porosimetry tests on wet samples in order to study the « real » pore system. |
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ISSN: | 0181-0529 2493-8653 |
DOI: | 10.1051/geotech/2005111077 |