L’éosinophilie sanguine est-elle un marqueur de sévérité de l’asthme ?

L’inflammation éosinophilique concerne en moyenne 40 à 50 % des patients asthmatiques. Sa recherche implique parfois des explorations coûteuses et d’accessibilité limitée comme l’expectoration induite. L’éosinophilie sanguine, plus simple à mesurer, s’est imposée en pratique courante. Étudier la rel...

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Veröffentlicht in:Revue française d'allergologie (2009) 2024-04, Vol.64, p.104023, Article 104023
Hauptverfasser: Darragi, M.K., Euchi, K., Hedhli, A., Khalfallah, N., Cheikhrouhou, S., Ouahchi, Y., Toujani, S., Mjid, M., Dhahri, B.
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:L’inflammation éosinophilique concerne en moyenne 40 à 50 % des patients asthmatiques. Sa recherche implique parfois des explorations coûteuses et d’accessibilité limitée comme l’expectoration induite. L’éosinophilie sanguine, plus simple à mesurer, s’est imposée en pratique courante. Étudier la relation entre l’hyperéosinophilie sanguine et la sévérité et le contrôle de la maladie asthmatique. Il s’agit d’une étude rétrospective ayant porté sur un échantillon de patients suivis pour un asthme de sévérité variable colligés au service de pneumologie de l’hôpital La Rabta de Tunis entre janvier 2022 et décembre 2023. Ont été inclus les patients ayant bénéficié d’au moins une NFS à l’état stable et à distance d’une corticothérapie systémique. On a individualisé 2 groupes : – G1 : des patients avec une hyperéosinophilie significative (le seuil choisi était un taux d’éosinophiles dans le sang≥500 éléments/mm3) ; – G2 : des patients avec un taux d’éosinophiles dans le sang
ISSN:1877-0320
1877-0320
DOI:10.1016/j.reval.2024.104023