L’écriture au scalpel : La Dictadura de lo cool de Marco Layera
Un gymnase avignonnais bondé, le dernier jour du festival d’Avignon. Nous sommes à Aubanel dont l’accès nécessite de se perdre dans de petites rues étroites avant de gagner l’entrée du lieu. Comme il est désormais coutume en Avignon, nos sacs sont fouillés avant de passer les portes, on nous débarra...
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Veröffentlicht in: | Skén & graphie 2016, p.163-166 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Un gymnase avignonnais bondé, le dernier jour du festival d’Avignon. Nous sommes à Aubanel dont l’accès nécessite de se perdre dans de petites rues étroites avant de gagner l’entrée du lieu. Comme il est désormais coutume en Avignon, nos sacs sont fouillés avant de passer les portes, on nous débarrasse de nos bouteilles d’eau de plus de 50 cl, de nos anti-moustiques, de certains brumisateurs. Ce nouveau rituel résonne des événements encore trop récents du 14 juillet. Ces contrôles passés, no... |
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ISSN: | 2272-0642 2553-1875 |
DOI: | 10.4000/skenegraphie.1318 |