Joan Bodon et Ferran Delèris racontent la terre : quelques romans occitans

C’est Ferdinand Delèris qui prononce ces mots élogieux à l’égard de son voisin, né en 1920, deux ans plus tôt que lui, à une vingtaine de kilomètres, et dont il découvrit l’œuvre sur le tard, environ soixante ans plus tard (Delèris, 2008, 4). À juste titre, on peut retourner le compliment à Delèris ...

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Veröffentlicht in:Revue des langues romanes 2023-12, Vol.127
1. Verfasser: Parayre, Catherine
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:C’est Ferdinand Delèris qui prononce ces mots élogieux à l’égard de son voisin, né en 1920, deux ans plus tôt que lui, à une vingtaine de kilomètres, et dont il découvrit l’œuvre sur le tard, environ soixante ans plus tard (Delèris, 2008, 4). À juste titre, on peut retourner le compliment à Delèris : Ferdinand Delèris a été un remarquable prosateur. L’être chez Delèris ne manque pas de courage et d’élégance. L’occitan a été une de ses deux langues d’écriture. Il emploie toujours le mot juste,...
ISSN:0223-3711
2391-114X
DOI:10.4000/rlr.5644