Freud et le nom de l’Autre. Un Moïse de plus
Parmi les nombreuses failles qui parcourent l’histoire de la raison, l’une d’elles oppose la représentation normalisante de l’objet donné à l’appréhension infime de l’objet construit. On a voulu montrer que le travail de Freud se situe plutôt du côté de cette seconde orientation et que l’acceptation...
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Veröffentlicht in: | Revue germanique internationale (Evry) 2000, p.151-163 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Parmi les nombreuses failles qui parcourent l’histoire de la raison, l’une d’elles oppose la représentation normalisante de l’objet donné à l’appréhension infime de l’objet construit. On a voulu montrer que le travail de Freud se situe plutôt du côté de cette seconde orientation et que l’acceptation et le traitement des « énoncés paradoxaux », qu’il partage avec bien d’autres configurations discursives philosophiques ou religieuses, étaient la marque de la rupture qu’il effectue avec tout dogmatisme scientiste. |
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ISSN: | 1253-7837 1775-3988 |
DOI: | 10.4000/rgi.812 |