Les limites de la peinture : Diderot et Herder
Le xviiie siècle s’est particulièrement intéressé au code propre à chaque art et aux différences qui les séparent. Pour Diderot, le problème général était celui du contraste entre un langage rationnellement ordonné et les structures dont la beauté spécifiquement artistique dépend. Comment la peintur...
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Veröffentlicht in: | Revue germanique internationale (Evry) 2000, p.87-96 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le xviiie siècle s’est particulièrement intéressé au code propre à chaque art et aux différences qui les séparent. Pour Diderot, le problème général était celui du contraste entre un langage rationnellement ordonné et les structures dont la beauté spécifiquement artistique dépend. Comment la peinture, qui montre l’apparence externe de l’objet, peut-elle posséder des structures internes comparables à celles de la littérature et de la musique ? Un problème du même ordre apparaît chez Herder. Le présent article se propose d’analyser, en les comparant, les réponses que ces deux auteurs fournissent à cette problématique. |
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ISSN: | 1253-7837 1775-3988 |
DOI: | 10.4000/rgi.771 |