Les relations entre la Côte-d’Ivoire et la Cour pénale internationale analysées à l’aune de l’affaire Le Procureur c. Simone Gbagbo
Après la Lybie et le Kenya notamment, c’était au tour de la Côte-d’Ivoire de saisir la Cour pénale internationale (ci-après, la Cour) d’une exception d’irrecevabilité en l’affaire Le Procureur c. Simone Gbagbo. Cette exception a été rejetée par la Cour au motif principal que les critères matériels d...
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Veröffentlicht in: | La Revue des droits de l’homme 2016-05 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Après la Lybie et le Kenya notamment, c’était au tour de la Côte-d’Ivoire de saisir la Cour pénale internationale (ci-après, la Cour) d’une exception d’irrecevabilité en l’affaire Le Procureur c. Simone Gbagbo. Cette exception a été rejetée par la Cour au motif principal que les critères matériels d’irrecevabilité n’étaient pas respectés par la partie ivoirienne. Partant, ce rejet permet d’analyser les relations entre la Côte-d’Ivoire et la Cour. Aussi, il permet d’examiner la pratique jurisprudentielle de la Cour en matière d’exceptions d’irrecevabilité. |
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ISSN: | 2264-119X |
DOI: | 10.4000/revdh.2097 |