De la petite cuillère... au reliquaire ou l’inventaire de l’orfèvrerie
Après quelques travaux fondamentaux et pionniers réalisés entre 1850 et 1950, la recherche dans le domaine de l’orfèvrerie française s’est développée au cours de la seconde moitié du XXe siècle, notamment avec l’étude approfondie des centres régionaux de production et avec des inventaires systématiq...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | In situ (Paris) 2005 |
---|---|
Hauptverfasser: | , , , , , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | Après quelques travaux fondamentaux et pionniers réalisés entre 1850 et 1950, la recherche dans le domaine de l’orfèvrerie française s’est développée au cours de la seconde moitié du XXe siècle, notamment avec l’étude approfondie des centres régionaux de production et avec des inventaires systématiques dans les collections privées et publiques. Par la normalisation des vocabulaires, des méthodes et des analyses, par ses opérations de recensement et d’étude permettant de constituer des corpus, par les publications et les bases de données nationales, l’Inventaire général, en lien avec le CNRS, a largement structuré la recherche et contribué à la mise en valeur des témoins d’un patrimoine fortement sinistré au cours des siècles. Ci-après, des articles illustreront la richesse insoupçonnée d’un territoire de montagne comme celui du nord des Hautes-Alpes, l’intérêt patrimonial d’œuvres jusqu’ici sous-estimées, tels deux reliquaires montpelliérains, et la découverte d’œuvres de belle qualité comme une aiguière de baptême mâconnaise, une écuelle couverte au poinçon d’une veuve d’orfèvre rennais ou un ostensoir portant la signature prestigieuse d’un grand orfèvre, François-Désiré Froment-Meurice. |
---|---|
ISSN: | 1630-7305 |
DOI: | 10.4000/insitu.8897 |