Une première approche sur la transmission du chant diphonique en Mongolie
Transmis par l’oralité de génération en génération dans les provinces de l’Altaï, l’enseignement du chant diphonique mongol (höömij) est aussi entré dans les milieux urbains et la sphère institutionnelle de l’université dans les années 1990. Face aux changements sociaux rapides que la Mongolie a con...
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Veröffentlicht in: | Etudes mongoles et sibériennes 2013-09 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Transmis par l’oralité de génération en génération dans les provinces de l’Altaï, l’enseignement du chant diphonique mongol (höömij) est aussi entré dans les milieux urbains et la sphère institutionnelle de l’université dans les années 1990. Face aux changements sociaux rapides que la Mongolie a connus en moins d’un siècle, d’importantes transformations ont été apportées au chant diphonique. À travers trois générations, les pratiques de transmission du höömij ont évolué et des enjeux identitaires se sont progressivement installés entre les chanteurs de höömij, mais aussi dans le monde politique. La transmission du chant diphonique n’est plus la même lorsque l’on passe du local au global ni quand le höömij fait l’objet d’une inscription sur la liste représentative du Patrimoine Culturel Immatériel de l’Unesco. |
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ISSN: | 0766-5075 2101-0013 |
DOI: | 10.4000/emscat.2123 |