Joseph Cornell : le film de re-montage et la séance cinématographique comme forme de ready-made aidé
Les films de Joseph Cornell, ou plutôt Rose Hobart (1936) qui en vient à représenter « métonymiquement » l’ensemble de son corpus cinématographique – pourtant varié, hétéroclite et comprenant également des films expressément tournés à sa demande –, sont investis comme l’acte inaugural du cinéma de f...
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Veröffentlicht in: | Décadrages 2017, p.96-121 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Les films de Joseph Cornell, ou plutôt Rose Hobart (1936) qui en vient à représenter « métonymiquement » l’ensemble de son corpus cinématographique – pourtant varié, hétéroclite et comprenant également des films expressément tournés à sa demande –, sont investis comme l’acte inaugural du cinéma de found footage. Je reviendrai sous peu sur ce moment « fondateur », et sur le contexte artistique dans lequel il convient de l’inscrire (à savoir l’importation du surréalisme aux Etats-Unis, notammen... |
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ISSN: | 2235-7823 2297-5977 |
DOI: | 10.4000/decadrages.1068 |