De l’écrit à l’écran : Les Misérables

« Je suis en train de refaire Shakespeare », disait Zecca à un ami qui l’avait trouvé la plume à la main sur un manuscrit : « Ce qu’il a passé à côté de belles choses, cet animal-là ! » (Siegfried Kracauer, Théorie du film. La rédemption de la réalité matérielle, Paris, Flammarion, 2010, p. 321). En...

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Veröffentlicht in:1895 : bulletin de l'Association française de recherche sur l'histoire du cinéma 2012, p.57-65
1. Verfasser: Logette, Lucien
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:« Je suis en train de refaire Shakespeare », disait Zecca à un ami qui l’avait trouvé la plume à la main sur un manuscrit : « Ce qu’il a passé à côté de belles choses, cet animal-là ! » (Siegfried Kracauer, Théorie du film. La rédemption de la réalité matérielle, Paris, Flammarion, 2010, p. 321). En 1912, Albert Capellani n’est pas le premier cinéaste à s’attaquer aux Misérables. Quinze ans plus tôt, la maison Lumière a déjà produit, dans sa série des « Transformations », où un même acteur ...
ISSN:0769-0959
1960-6176
DOI:10.4000/1895.4565