Le temps des meurtriers. L’opposition d’Albert Camus aux totalitarismes de l’après-guerre
Après la Seconde Guerre mondiale, Camus, auteur de L’Homme révolté (1951), prend position par rapport aux régimes totalitaires en Europe, en particulier à ceux d’Espagne, de l’Allemagne de l’Est, de la Pologne et de la Hongrie. Dans ses considérations, Camus reprend la notion de tragédie, par laquel...
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Veröffentlicht in: | Comunicare Interculturală şi Literatură 2015, Vol.22 (1), p.29-44 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Après la Seconde Guerre mondiale, Camus, auteur de L’Homme révolté (1951), prend position par rapport aux régimes totalitaires en Europe, en particulier à ceux d’Espagne, de l’Allemagne de l’Est, de la Pologne et de la Hongrie. Dans ses considérations, Camus reprend la notion de tragédie, par laquelle il entend une situation où l’homme révolté, par exemple chez William Faulkner dans Requiem pour une nonne dont il fait une adaptation pour la scène, entre dans un conflit sans issue avec l’ordre. A la même époque, Camus fustige, dans La Chute, le mensonge et la fausseté de l’homme moderne qui ne veut pas admettre la vérité des choses que Camus lui-même met en avant dans sa proposition pour une trêve humanitaire et un nouveau système politique en Algérie. |
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ISSN: | 1844-6965 |