La privatisation des terres collectives agraires dans l'agglomération de Mexico
En 1992, les réformes de la Constitution mexicaine mettent un terme à la Réforme agraire et permettent le passage de la propriété sociale ( ejidos ou communautés agraires), à la pleine propriété individuelle, ainsi qu’à l’investissement privé sur le foncier. Ces réformes concernent directement les t...
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Veröffentlicht in: | Revue Tiers monde 2011, Vol.206 (2), p.95-114 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | En 1992, les réformes de la Constitution mexicaine mettent un terme à la Réforme agraire et permettent le passage de la propriété sociale ( ejidos ou communautés agraires), à la pleine propriété individuelle, ainsi qu’à l’investissement privé sur le foncier. Ces réformes concernent directement les terres collectives situées en périphérie de l’agglomération de Mexico ; ils constituent donc une nouvelle offre sur le marché foncier, formel et informel, mais supposent aussi des mécanismes institutionnels particuliers qui jouent sur la régularisation et la maîtrise de l’occupation des sols. L’article analyse l’impact des réformes, d’une part sur l’élargissement de l’offre foncière en périphérie, d’autre part sur le phénomène d’expansion urbaine qui caractérise l’urbanisation de l’agglomération. |
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ISSN: | 1293-8882 1963-1359 |
DOI: | 10.3917/rtm.206.0095 |