Faut le temps

Si, pour Lacan, la fin d’une analyse implique la passe, celle-ci n’est pas pour autant son terme. Elle ouvre un nouveau temps de l’analyse, un temps issu de ce moment fugitif qui a conjoint la faille dans l’Autre avec l’apparition de l’objet et que Lacan appelle « le temps qu’il faut pour se faire à...

Ausführliche Beschreibung

Gespeichert in:
Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Figures de la psychanalyse 2019-10, Vol.38 (2), p.147-154
1. Verfasser: Pickmann, Claude-Noële
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
Tags: Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
Beschreibung
Zusammenfassung:Si, pour Lacan, la fin d’une analyse implique la passe, celle-ci n’est pas pour autant son terme. Elle ouvre un nouveau temps de l’analyse, un temps issu de ce moment fugitif qui a conjoint la faille dans l’Autre avec l’apparition de l’objet et que Lacan appelle « le temps qu’il faut pour se faire à être » selon sa formulation de 1970 dans « Radiophonie ».
ISSN:1623-3883
1776-2847
DOI:10.3917/fp.038.0147