Georg Mordechaï Langer, Kafka et la psychanalyse
L’auteur articule la pensée de Langer à Kafka et à la psychanalyse. Langer fait ainsi connaître le hassidisme à Kafka. À partir d’études psychanalytiques de Langer, il s’agit aussi d’explorer les interprétations de la psychanalyse et celles du judaïsme y compris l’interprétation psychanalytique de l...
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Veröffentlicht in: | Figures de la psychanalyse 2008-05, Vol.16 (2), p.255-274 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | L’auteur articule la pensée de Langer à Kafka et à la psychanalyse. Langer fait ainsi connaître le hassidisme à Kafka. À partir d’études psychanalytiques de Langer, il s’agit aussi d’explorer les interprétations de la psychanalyse et celles du judaïsme y compris l’interprétation psychanalytique de la kabbale. Langer s’intéresse sélectivement à la théorie de la sexualité et la seconde théorie des pulsions. L’inconscient serait la source des lois juives trouvant leur origine dans l’Éros. Mais le judaïsme n’a rien à craindre de la psychanalyse. Dans le milieu hassidique dont est issu Freud, la mystique juive considère de façon originale le rapport au signifiant-maître, le Nom. Si Freud préserve un territoire juif et universel, Langer prouve que le judaïsme est un territoire pour toute œuvre universelle. Si le signifiant du manque structure le judaïsme, la filiation est au cœur de la judéité. Freud propulse ainsi le signifiant du judaïsme au centre du savoir occidental. |
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ISSN: | 1623-3883 1776-2847 |
DOI: | 10.3917/fp.016.0255 |