Tant que mon corps n’aura pas disparu
Ce travail explore les synergies pleines de promesses entre un art du tatouage et le travail de deuil. En renouant avec sa fonction ancestrale éclairée des connaissances de la psychologie moderne en la matière, l’artiste tatoueur se présente comme ayant une nouvelle proposition d’aide pour l’endeuil...
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Veröffentlicht in: | Etudes sur la mort 2019, Vol.151 (1), p.109-129 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Ce travail explore les synergies pleines de promesses entre un art du tatouage et le travail de deuil. En renouant avec sa fonction ancestrale éclairée des connaissances de la psychologie moderne en la matière, l’artiste tatoueur se présente comme ayant une nouvelle proposition d’aide pour l’endeuillé. De l’élaboration du dessin, pensée comme un support à la quête de sens provoquée par la mort d’un proche, à la cérémonie de tatouage, utilisée comme un rituel de transformation de la douleur, l’art du Tatouage comme aide au travail de deuil se propose comme une aventure intérieure qui conduit l’endeuillé de la tristesse à la joie d’un renouveau. |
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ISSN: | 1286-5702 1961-8654 |
DOI: | 10.3917/eslm.151.0109 |