Repertoriul culturii noua - coslogeni din România aşezări şi necropole = Répertoire de la culture Noua - Coslogeni en Roumanie
Gespeichert in:
| Format: | Buch |
|---|---|
| Sprache: | Romanian |
| Veröffentlicht: |
Călăraşi
S.C. Alcor Impex SRL
1991
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| Schriftenreihe: | Cultura şi civilizaţia la Dunărea de Jos
9 |
| Online-Zugang: | Abstract |
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Le corpus présent réunit les établissements et le nécropoles de type Noua
identifiés par hasard ou à la suite de, recherches systématiques sur le territoire de la
Roumanie, durant plus d un siècle
Dans ce sens il est à mentionner que les premiers éléments quiiattestaient la présence
d une culture autonome appartenent à l époque de Bronze tardif de Roumanie et introduite
dans la littérature de spécialité par LNestor sous le nom de la culture Noua , ont été signalés
en
•
de la culture Noua la nous la devons à une découverte faite au printemps de
Bîrseanu, qui a trouvé à Noua (un faubourg de
l inventaire de laquelle il y a eu des vases à anses prévues de bouton. Cette découverte a été
mentionnée par la suite par J.Teutsch (Rep.28). C est dans le même ordre d idées que l on
doit ici mentionner aussi les découvertes de
À peu près à la même époque, au cours des fouilles faites par
préféodale de
comme appartenant à la culture Noua) (Rep.26—
De la même époque datent aussi les recherches faites par
MRoska à
Tg.Secuiesc (Rep.546),
restées longtemps inédites. De même, ce n est pas sans importance de souligner que dans la
très connue esquisse monographique parue en
Transylvanie, M.Roska a inséré aussi une partie des découvertes qu aujourd hui nous at¬
tribuons avec certitude à notre avis à la culture Noua, mais qui l auteur de l ouvrage
sus-mentionné a considéré comme appartenant à l époque
Pour finir c est le cas de rappeler ici les recherches de ALFerenczi et
en
(Rep.138), ainsi que celles effectuées par ALFerenczi, M.Moga et KHeredt à
de K.Horedt à
d inhumation l auteur signale également les traces de l établissement qui leur correspond. On
ne peut pas passer sur le fait que le sondage fait par R.Vulpe et
en
représentait alors la première campagne de fouilles systématiques pour un tel objectif dans
la zone extracarpatique de la Roumanie. Par la suite, le fait est de notoriété, par les fouilles
de
nécropole du territoire de la Roumanie appartenant à la culture Noua (Rep.558—
Il s ensuit que jusqu à la fin de la 5-ième décerne les découvertes Noua (fortuites ou
parues à la suite de fouilles systématiques) sont relativement bien mises en évidence en
Transylvanie et trop peu dans la zone extracarpatique. Depuis et jusqu à présent les recher¬
ches de terrain, ainsi que les fouilles vont s effectuer prioritairement en Moldavie étant
167
orientées surtout sur les établissements.
La mention de toutes ces données s explique par le fait que dans le Répertoire que nous
présentons ici ressort avec évidence le grand nombre d objectifs Noua (surtout des
établissements mais des nécropoles aussi) signalés dans les zones de l est de la Roumanie.
D ailleurs ce fait a incité à dresser des hypothèses selon lesquelles la culture Noua se serait
constituée en Moldavie après quoi elle aurait envahi aussi d autres zones de la Transylvanie,
opinion· que nous n avons pas partagée, tout en essayant d argumenter que le phénomène
Noua s est développé simultanément sur toute son aire de diffusion par l union et
l annihilation totale ou partielle des groupes de tribus qui existaient à l époque du Bronze
moyen sur la majeure partie de la Roumanie (voir nos études de
occasion, nous avons
a été accéléré par la pénétration, dans les zones extracarpatiques, surtout à la fin du Bronze
moyen}
ment ont pénétré dans les régions sus-mentionnées certaines catégories de pièces en os ou en
bronze et qui ont été adoptées par les porteurs de la culture Noua dès son étape de constitution
(Noua
sont les découvertes considérées par nous, quoique avec prudence, de type srubno
(corpus Chap.C) et insérées telles quelles, qui prouvent que la présence de ces petits groupes
de population de l est a été effective. Il n en est pas moins vrai que les dernières années les
recherches effectuées en Ukraine et en Rép. de Moldavie ont mis à jour de nouveaux
matériaux appartenant au groupe avec céramique décorée avec de multiples bandes à relief
et à Sabatinovka ancienne dont les porteurs auraient pénétré, selon quelques chercheurs,
dans les zones extracarpatiques de la Roumanie. Mais, ayant en vue que jusqu à présent les
matériaux publiés ne fournissent pas la preuve que l hypothèse formulée par Grakova—
Krivtsova est infirmée ou même erronnée, tandis que les éléments composants du groupe
Sabatinovka ancienne ne sont pas définis non plus avec beaucoup de certitude, tels qu ils
apparaissent par exemple dans l étape Noua
maintenir nos hypothèses, quant au territoire de la Roumanie, formulées en
De même, pour que celui qui parcourt autant lecorpus des découvertes que l illustration
ne soit pas trop surpris, il faut que nous exposions notre point de vue à propos de l inclusion
des objectifs de type Coslogeni dans le cadre de ce répertoire, objectifs qui, comme l on sait,
ont été englobés dans une culture
Sans aucun doute, nous n allons
collègue, mais autant les recherches
où nous avons dressé ce corpus nous ont suggéré l hypothèse selon laquelle la culture
Coslogeni par ses composantes ne peut pas illustrer le déclenchement d un phénomène
différent de celui quia conduit à la formation de la culture Noua. Bien au contraire, nous
croyons qu à la fin du Bronze moyen a eu lieu la constitution d un grand groupe culturel que
nous, appellerons Noua—Coslogeni, chacun ayant ses propres particularités. D ailleurs le
matériel illustratif qui accompagne ce,, corpus met en évidence manifestement qu à l époque
de( cristallisation on garde dans une mesure plus grande ou en moindre mesure des éléments
des. cultures· du. Bronze moyen et qui se sont agglutinés par la suite formant une culture
unitaire. Nous nous sommes proposé, et avons réalisé dans la période ultérieure à la
réalisation de ce corpus une étude plus ample où nous avons repris le problème de. la
168
constitution du groupe Noua- Coslogeni et où nous avons discuté à nouveau la présence
des éléments orientaux sur le territoire extracarpatique de la Roumanie, compte tenant des
nouvelles conclusions des chercheurs soviétiques (pour les recherches de l U.R.S.S.) avec
lesquels nous avons été parfois à l unisson, parfois non, mais qu il n est pas à renouveller
dans le présent ouvrage.
En fin de compte, il est nécessaire que nous fassions quelques précisions pour ce qui est
de ce corpus et de l illustration adjacente. Ainsi, pour une identification des plus faciles
possibles sur le terrain nous sommes efforcé que les données se rapportant à chaque objectif
soit des plus précises (les collections où ils se trouvent, on a indiqué le numéro de l inventaire
où c était le cas et même les informations verbales, tout en spécifiant la collection particulière
où l on trouve les matériaux respectifs). De même, il est nécessaire de mentionner aussi le fait
que pour chaque localité on a indiqué le nom, la commune ou le district, conformément à la
réforme administrative de
modifications de
Dans le même ordre d idées, pour créer une image des plus claires pour ce que
représente la culture Noua—Coslogeni sur le territoire de la Roumanie, le corpus a trois
grands chapitres: A. Établissements; B. Nécropoles et C. Découvertes à caractère srubno—
Hvalinsk. Dans le chapitre Établissement (illustration) on a considéré préférable de présenter
d abord la céramique et ensuite l inventaire de pièces de bronze, os et la plastique. Seulement
dans de rares situations et seulement pour les découvertes très anciennes et pas toujours
significatives la céramique est accompagnée aussi d une pièce en os ou bronze spécifique pour
la culture Noua. Dans le chapitre Nécropoles, l inventaire contient il.va sans dire, d autant la
céramique que les pièces de parure signalés à l occasion des fouilles. De cette façon nous
avons voulu que celui qui consulte le corpus et son illustration trouve les plus significatifs
éléments contenus par la culture Noua
que nous n avons pas inclus dans le corpus des découvertes des dépôts de bronzes, celles-ci
ayant déjà fait l objet d un ample volume publié par M.Petrescu—
De même, il est nécessaire de mentionner que dans le cas des objectifs de Moldavie
surtout, où l on effectué des recherches de grande envergure comme par exemple à
Movila
et où l on a identifié
avons inséré sous la forme d un
des investigations respectives, tout en faisant une synthèse des données publiées ou en cours
de publication, comme c est le cas à
Sans aucun doute, tenant compte du fait que le répertoire des établissements, des
nécropoles Noua —Coslogeni et des découvertes de type srubno
seulement les résultats des recherches effectuées entre les années
qu ils ne contiennent que les données bibliographiques enregistrées jusqu au moment de
l achèvement du corpus présenté. Nous avons fait cette précision car ultérieurement on a
publié certaine matériaux partiellement ou intégralement comme par exemple ceux de la
collection G.Coman et qui ne figurent pas dans notre bibliographie que seulement pour les
découvertes examinées et manssionées par nous. Malgré ces carences, nous nous sommes
ingénié, en dressant ce corpus de découvertes Noua
existentes
169
bronze tardif de cette grande aire de la Roumanie.
On ne peut pas clore le présent ouvrage sans attirer l attention que dans le chapitre
intr oductif de même qu ici, nous avons inséré nos opinions telles que nous les avons formulées
dans les études parues antérieurement, car depuis ces temps-là et jusqu au plus tard, en
nous n avons pas trouvé suffisamment d arguments pour les modifier. Il n en est pas moins
vrai cependent que pour le territoire situé entre le Pruth et le Don il y en a quelques-uns pour
des problèmes se rapportant au contenu de la culture Sabatinovka pour lesquels on a fait
certaines modifications (mais celles-ci ne peuvent pas pour le moment être adoptées ad
litteram pour expliquer la genèse de la culture Noua—Coslogeni sur le territoire de la
Roumanie.
Traduit par Mihaela
170
|
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RÉSUMÉ
Le corpus présent réunit les établissements et le nécropoles de type Noua
identifiés par hasard ou à la suite de, recherches systématiques sur le territoire de la
Roumanie, durant plus d'un siècle
Dans ce sens il est à mentionner que les premiers éléments quiiattestaient la présence
d'une culture autonome appartenent à l'époque de Bronze tardif de Roumanie et introduite
dans la littérature de spécialité par LNestor sous le nom de "la culture Noua", ont été signalés
en
•
de la culture Noua la nous la devons à une découverte faite au printemps de
Bîrseanu, qui a trouvé à Noua (un faubourg de
l'inventaire de laquelle il y a eu des vases à anses prévues de bouton. Cette découverte a été
mentionnée par la suite par J.Teutsch (Rep.28). C'est dans le même ordre d'idées que l'on
doit ici mentionner aussi les découvertes de
À peu près à la même époque, au cours des fouilles faites par
préféodale de
comme appartenant à la culture Noua) (Rep.26—
De la même époque datent aussi les recherches faites par
MRoska à
Tg.Secuiesc (Rep.546),
restées longtemps inédites. De même, ce n'est pas sans importance de souligner que dans la
très connue esquisse monographique parue en
Transylvanie, M.Roska a inséré aussi une partie des découvertes qu'aujourd'hui nous at¬
tribuons avec certitude à notre avis à la culture Noua, mais qui l'auteur de l'ouvrage
sus-mentionné a considéré comme appartenant à l'époque
Pour finir c'est le cas de rappeler ici les recherches de ALFerenczi et
en
(Rep.138), ainsi que celles effectuées par ALFerenczi, M.Moga et KHeredt à
de K.Horedt à
d'inhumation l'auteur signale également les traces de l'établissement qui leur correspond. On
ne peut pas passer sur le fait que le sondage fait par R.Vulpe et
en
représentait alors la première campagne de fouilles systématiques pour un tel objectif dans
la zone extracarpatique de la Roumanie. Par la suite, le fait est de notoriété, par les fouilles
de
nécropole du territoire de la Roumanie appartenant à la culture Noua (Rep.558—
Il s'ensuit que jusqu'à la fin de la 5-ième décerne les découvertes Noua (fortuites ou
parues à la suite de fouilles systématiques) sont relativement bien mises en évidence en
Transylvanie et trop peu dans la zone extracarpatique. Depuis et jusqu'à présent les recher¬
ches de terrain, ainsi que les fouilles vont s'effectuer prioritairement en Moldavie étant
167
orientées surtout sur les établissements.
La mention de toutes ces données s'explique par le fait que dans le Répertoire que nous
présentons ici ressort avec évidence le grand nombre d'objectifs Noua (surtout des
établissements mais des nécropoles aussi) signalés dans les zones de l'est de la Roumanie.
D'ailleurs ce fait a incité à dresser des hypothèses selon lesquelles la culture Noua se serait
constituée en Moldavie après quoi elle aurait envahi aussi d'autres zones de la Transylvanie,
opinion· que nous n'avons pas partagée, tout en essayant d'argumenter que le phénomène
Noua s'est développé simultanément sur toute son aire de diffusion par l'union et
l'annihilation totale ou partielle des groupes de tribus qui existaient à l'époque du Bronze
moyen sur la majeure partie de la Roumanie (voir nos études de
occasion, nous avons
a été accéléré par la pénétration, dans les zones extracarpatiques, surtout à la fin du Bronze
moyen}
ment ont pénétré dans les régions sus-mentionnées certaines catégories de pièces en os ou en
bronze et qui ont été adoptées par les porteurs de la culture Noua dès son étape de constitution
(Noua
sont les découvertes considérées par nous, quoique avec prudence, de type srubno
(corpus Chap.C) et insérées telles quelles, qui prouvent que la présence de ces petits groupes
de population de l'est a été effective. Il n'en est pas moins vrai que les dernières années les
recherches effectuées en Ukraine et en Rép. de Moldavie ont mis à jour de nouveaux
matériaux appartenant au groupe avec céramique décorée avec de multiples bandes à relief
et à Sabatinovka ancienne dont les porteurs auraient pénétré, selon quelques chercheurs,
dans les zones extracarpatiques de la Roumanie. Mais, ayant en vue que jusqu'à présent les
matériaux publiés ne fournissent pas la preuve que l'hypothèse formulée par Grakova—
Krivtsova est infirmée ou même erronnée, tandis que les éléments composants du groupe
Sabatinovka ancienne ne sont pas définis non plus avec beaucoup de certitude, tels qu'ils
apparaissent par exemple dans l'étape Noua
maintenir nos hypothèses, quant au territoire de la Roumanie, formulées en
De même, pour que celui qui parcourt autant lecorpus des découvertes que l'illustration
ne soit pas trop surpris, il faut que nous exposions notre point de vue à propos de l'inclusion
des objectifs de type Coslogeni dans le cadre de ce répertoire, objectifs qui, comme l'on sait,
ont été englobés dans une culture
Sans aucun doute, nous n'allons
collègue, mais autant les recherches
où nous avons dressé ce corpus nous ont suggéré l'hypothèse selon laquelle la culture
Coslogeni par ses composantes ne peut pas illustrer le déclenchement d'un phénomène
différent de celui quia conduit à la formation de la culture Noua. Bien au contraire, nous
croyons qu'à la fin du Bronze moyen a eu lieu la constitution d'un grand groupe culturel que
nous, appellerons Noua—Coslogeni, chacun ayant ses propres particularités. D'ailleurs le
matériel illustratif qui accompagne ce,, corpus met en évidence manifestement qu'à l'époque
de( cristallisation on garde dans une mesure plus grande ou en moindre mesure des éléments
des. cultures· du. Bronze moyen et qui se sont agglutinés par la suite formant une culture
unitaire. Nous nous sommes proposé, et avons réalisé dans la période ultérieure à la
réalisation de ce corpus une étude plus ample où nous avons repris le problème de. la
168
constitution du groupe Noua- Coslogeni et où nous avons discuté à nouveau la présence
des éléments orientaux sur le territoire extracarpatique de la Roumanie, compte tenant des
nouvelles conclusions des chercheurs soviétiques (pour les recherches de l'U.R.S.S.) avec
lesquels nous avons été parfois à l'unisson, parfois non, mais qu'il n'est pas à renouveller
dans le présent ouvrage.
En fin de compte, il est nécessaire que nous fassions quelques précisions pour ce qui est
de ce corpus et de l'illustration adjacente. Ainsi, pour une identification des plus faciles
possibles sur le terrain nous sommes efforcé que les données se rapportant à chaque objectif
soit des plus précises (les collections où ils se trouvent, on a indiqué le numéro de l'inventaire
où c'était le cas et même les informations verbales, tout en spécifiant la collection particulière
où l'on trouve les matériaux respectifs). De même, il est nécessaire de mentionner aussi le fait
que pour chaque localité on a indiqué le nom, la commune ou le district, conformément à la
réforme administrative de
modifications de
Dans le même ordre d'idées, pour créer une image des plus claires pour ce que
représente la culture Noua—Coslogeni sur le territoire de la Roumanie, le corpus a trois
grands chapitres: A. Établissements; B. Nécropoles et C. Découvertes à caractère srubno—
Hvalinsk. Dans le chapitre Établissement (illustration) on a considéré préférable de présenter
d'abord la céramique et ensuite l'inventaire de pièces de bronze, os et la plastique. Seulement
dans de rares situations et seulement pour les découvertes très anciennes et pas toujours
significatives la céramique est accompagnée aussi d'une pièce en os ou bronze spécifique pour
la culture Noua. Dans le chapitre Nécropoles, l'inventaire contient il.va sans dire, d'autant la
céramique que les pièces de parure signalés à l'occasion des fouilles. De cette façon nous
avons voulu que celui qui consulte le corpus et son illustration trouve les plus significatifs
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que nous n'avons pas inclus dans le corpus des découvertes des dépôts de bronzes, celles-ci
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surtout, où l'on effectué des recherches de grande envergure comme par exemple à
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des investigations respectives, tout en faisant une synthèse des données publiées ou en cours
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Sans aucun doute, tenant compte du fait que le répertoire des établissements, des
nécropoles Noua —Coslogeni et des découvertes de type srubno
seulement les résultats des recherches effectuées entre les années
qu'ils ne contiennent que les données bibliographiques enregistrées jusqu'au moment de
l'achèvement du corpus présenté. Nous avons fait cette précision car ultérieurement on a
publié certaine matériaux partiellement ou intégralement comme par exemple ceux de la
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découvertes examinées et manssionées par nous. Malgré ces carences, nous nous sommes
ingénié, en dressant ce corpus de découvertes Noua
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169
bronze tardif de cette grande aire de la Roumanie.
On ne peut pas clore le présent ouvrage sans attirer l'attention que dans le chapitre
intr oductif de même qu'ici, nous avons inséré nos opinions telles que nous les avons formulées
dans les études parues antérieurement, car depuis ces temps-là et jusqu'au plus tard, en
nous n'avons pas trouvé suffisamment d'arguments pour les modifier. Il n'en est pas moins
vrai cependent que pour le territoire situé entre le Pruth et le Don il y en a quelques-uns pour
des problèmes se rapportant au contenu de la culture Sabatinovka pour lesquels on a fait
certaines modifications (mais celles-ci ne peuvent pas pour le moment être adoptées "ad
litteram" pour expliquer la genèse de la culture Noua—Coslogeni sur le territoire de la
Roumanie.
Traduit par Mihaela
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| series2 | Cultura şi civilizaţia la Dunărea de Jos |
| spelling | Repertoriul culturii noua - coslogeni din România aşezări şi necropole = Répertoire de la culture Noua - Coslogeni en Roumanie Muzeul Dunării de Jos. Adrian C. Florescu Répertoire de la culture Noua - Coslogeni en Roumanie Călăraşi S.C. Alcor Impex SRL 1991 414 S. überw. Ill. 1 Kt.- Beil. txt rdacontent sti rdacontent n rdamedia nc rdacarrier Cultura şi civilizaţia la Dunărea de Jos 9 Zsfassung in engl. u. franz. Sprache ; Einzelaufnahme eines Zeitschr.- Bd. Florescu, Adrian C. Sonstige oth Digitalisierung BSB Muenchen application/pdf http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=015050031&sequence=000002&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA Abstract |
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