Childbearing Patterns of Foreign Women in a New Immigration Country: The Case of Spain

Spain, a country of emigration during centuries, has become a country of immigration in the last twenty years: the foreign population increased from 0.9% in 1991 to 8.5% in 2005. Since Spain also has one of the lowest fertility rates in the world, the potential impact of immigration on the demograph...

Ausführliche Beschreibung

Gespeichert in:
Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Population (English ed. : 2002) 2007-01, Vol.62 (3), p.351-379
Hauptverfasser: Vila, Marta Roig, Martín, Teresa Castro
Format: Artikel
Sprache:eng
Schlagworte:
Online-Zugang:Volltext
Tags: Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
Beschreibung
Zusammenfassung:Spain, a country of emigration during centuries, has become a country of immigration in the last twenty years: the foreign population increased from 0.9% in 1991 to 8.5% in 2005. Since Spain also has one of the lowest fertility rates in the world, the potential impact of immigration on the demographic future of the country is large. Yet immigrants' fertility patterns have received relatively little attention. This study compares a series of reproductive indicators for Spanish and foreign women using birth microdata and presents an analysis of recent fertility by region of origin based on the 2001 Census. The results show that observed fertility gaps between Spanish and foreign women are largely explained by differential socio-demographic characteristics, in particular, by age and education. Since some of the hypothesized effects of migration on fertility are contingent on length of residence in the host country, the study also compares fertility levels across migrant cohorts and detects patterns consistent with both the adaptation and the disruption hypotheses. /// Pays d'émigration pendant des siècles, l'Espagne est devenue un pays d'immigration depuis une vingtaine d'années: la part de la population étrangère y est passée de 0,9% en 1991 à 8,5% en 2005. L'Espagne ayant un taux de fécondité parmi les plus bas du monde, l'impact potentiel de l'immigration sur son avenir démographique est important. Pourtant, on s'y est encore assez peu intéressé à la fécondité des immigrées. Cet article compare les indicateurs de fécondité respectifs des Espagnoles et des immigrées en exploitant les données individuelles de l'état civil et analyse l'évolution récente de la fécondité en fonction de la région d'origine à partir des données du recensement de 2001. Les résultats montrent que les écarts de fécondité constatés entre les Espagnoles et les étrangères s'expliquent en grande partie par des différences de profil socio-démographique, en particulier en termes d'âge et de niveau d'instruction. Comme certains effets supposés de l'immigration sur la fécondité dépendent de la durée de séjour dans le pays d'accueil, l'article compare aussi les niveaux de fécondité de différentes cohortes d'immigrées et met en évidence des modèles qui s'accordent à la fois avec l'hypothèse de l'adaptation et avec celle de la rupture. /// Pais de emigración durante siglos, España se ha convertido, en los últimos veinte años, en un país de inmigración: la población extranjera ha pasado de repr
ISSN:1634-2941
1958-9190
DOI:10.3917/pope.703.0351