Primary urethral carcinoma: Recommendations of the oncology committee of the French Urology Association

Primary urethral carcinoma (PUC) is defined as a tumor process arising within the urethra, with no history of other urinary tract localization or synchronous tumor of the urinary tract. The most common histological types are urothelial carcinoma (UC), squamous cell carcinoma (SCC) and adenocarcinoma...

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Veröffentlicht in:The French Journal of Urology 2024-06, Vol.34 (5), p.102606, Article 102606
Hauptverfasser: Neuville, Paul, Murez, Thibaut, Savoie, Pierre Henri, Rocher, Laurence, Fléchon, Aude, Ferretti, Ludovic, Van Hove, Antoine, Branger, Nicolas, Camparo, Philippe, Rouprêt, Morgan
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Primary urethral carcinoma (PUC) is defined as a tumor process arising within the urethra, with no history of other urinary tract localization or synchronous tumor of the urinary tract. The most common histological types are urothelial carcinoma (UC), squamous cell carcinoma (SCC) and adenocarcinoma (AC). In men, UC predominates, while AC is rare. In women, AC affects around one in two patients, while EC and UC are equally divided between the remaining cases. Diagnosis is often delayed, and requires endoscopic examination with biopsies. MRI is the gold standard for local staging. FDG-PET scan can help in cases of doubt about regional or distant extension. The prognosis remains unfavorable despite aggressive surgical treatment. Multimodal management combining surgery, radiotherapy and chemotherapy appears to improve prognosis in severe forms. Le carcinome primitif de l’urètre (CPU) est défini par un processus tumoral naissant au sein de l’urètre, sans antécédent d’une autre localisation urinaire, ni tumeur synchrone de l’arbre urinaire. Les types histologiques les plus fréquents sont le carcinome urothélial (CU), le carcinome épidermoïde (CE) et l’adénocarcinome (AC). Chez l’homme, le CU est largement majoritaire et l’AC plutôt rare. Chez la femme, l’AC concerne une patiente sur deux environ alors que CE et CU se répartissent équitablement les autres cas. Le diagnostic est souvent tardif, obtenu par un examen endoscopique avec biopsies. L’imagerie par résonance magnétique (IRM) est l’imagerie de référence pour la stadification locale. La tomodensitométrie par émission de positon couplée au scanner, au fluroro-desoxy-glucose (TEP-FDG) peut aider en cas de doute sur une extension régionale ou à distance. Le pronostic reste défavorable malgré un traitement chirurgical agressif. Une prise en charge multimodale associant chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie semble améliorer le pronostic pour les formes sévères.
ISSN:2950-3930
2950-3930
DOI:10.1016/j.fjurol.2024.102606