History, Politics, and Transformational Change in Canadian Health Care: A Rejoinder

Our rejoinder addresses two common themes raised in the responses to our article concerning the potential role of psychological services in the future of public health care in Canada. The first concerns the current system's capacity to evolve beyond the medical-hospital illness model of the 196...

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Bibliographische Detailangaben
Veröffentlicht in:Canadian psychology = Psychologie canadienne 2004-08, Vol.45 (3), p.239-243
Hauptverfasser: Romanow, Roy J, Marchildon, Gregory P
Format: Artikel
Sprache:eng
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Beschreibung
Zusammenfassung:Our rejoinder addresses two common themes raised in the responses to our article concerning the potential role of psychological services in the future of public health care in Canada. The first concerns the current system's capacity to evolve beyond the medical-hospital illness model of the 1960s to incorporate psychological treatments aimed at illness prevention and health promotion. This would be more likely if psychologists were to participate directly in primary-care and home-based mental health-care reform. The second theme is the presumed negative role of "politics" rather than scientific evidence in decisions concerning public coverage or subsidy. We argue that democratic decision-making is the proper basis upon which decisions concerning public coverage are made, but it need not be in opposition to evidence-based decision-making. As recommended in the final report of the Commission on the Future of Health Care in Canada, the Health Council of Canada along with applied research institutes can make politicians and policy-makers more aware of the growing body of evidence supporting the efficacy of psychological treatments relative to the alternatives. Notre réplique traite de deux thèmes communs soulevés dans les réponses adressées à notre article portant sur le rôle possible des services de psychologie dans les soins de santé publics de demain, ici au Canada. Le premier thème concerne la capacité du système actuel d'évoluer et de dépasser le modèle médico-hospitalier de la maladie hérité des années 1960 pour incorporer les traitements psychologiques susceptibles de prévenir la maladie et de favoriser la santé. Cette transformation nécessitera fort probablement la participation directe des psychologues aux soins de santé primaires et à la réforme des soins de santé mentale à domicile. Le deuxième thème présenté concerne le rôle négatif supposé que joue la « politique » au détriment des preuves scientifiques lorsque vient le temps de prendre des décisions relatives à la couverture des services par le secteur public et les subventions. Nous soutenons que la prise de décision démocratique est l'unique base acceptable sur laquelle prendre des décisions qui concernent la couverture des services par le secteur public mais celle-ci ne doit pas se trouver en contradiction avec des décisions fondées sur l'expérience clinique. Comme il est recommandé dans la version finale du rapport de la Commission sur l'avenir des soins de santé au Canada, le Conseil de la s
ISSN:0708-5591
1878-7304
DOI:10.1037/h0086994