Action collective, action de mouvement social: la contribution du syndicalisme à la liberté au travail dans un exemple néo‐zélandais
Les syndicats peuvent contribuer à la liberté au travail par une action collective axée sur l'intérêt des membres, mais aussi en nouant des partenariats avec d'autres acteurs de la société civile, dans le cadre d'un mouvement social. Pour traiter ce dernier aspect, encore peu document...
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Veröffentlicht in: | Revue internationale du travail 2023-03, Vol.162 (1), p.163-190 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng ; fre |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Les syndicats peuvent contribuer à la liberté au travail par une action collective axée sur l'intérêt des membres, mais aussi en nouant des partenariats avec d'autres acteurs de la société civile, dans le cadre d'un mouvement social. Pour traiter ce dernier aspect, encore peu documenté, les auteurs s'appuient sur les définitions de la liberté de Berlin (1988) et MacCallum (1967) puis sur la théorie de la démocratie radicale de Laclau et Mouffe (2019). Ils illustrent leur propos par une étude de cas portant sur les stratégies déployées par des syndicats néozélandais en vue d'accompagner l'action officielle pour une transition juste face au défi climatique. |
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ISSN: | 0378-5599 1564-9121 |
DOI: | 10.1111/ilrf.12270 |