Parcours diagnostique des abcès à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton-Valentine
Staphylococcus aureus (SA) sécréteur de la leucocidine de Panton-Valentine (PVL) est responsable d’abcès cutanés chez le sujet jeune avec transmission intra-familiale ou au sein de collectivités. Malgré son caractère souvent récidivant, le diagnostic peut être tardif. L’objectif de cette étude était...
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Veröffentlicht in: | Médecine et maladies infectieuses 2017-06, Vol.47 (4), p.S25-S25 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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container_title | Médecine et maladies infectieuses |
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creator | Vuotto, F. Bazin, M. Loiez, C. Douaud, M. Filali, A. Faure, K. |
description | Staphylococcus aureus (SA) sécréteur de la leucocidine de Panton-Valentine (PVL) est responsable d’abcès cutanés chez le sujet jeune avec transmission intra-familiale ou au sein de collectivités. Malgré son caractère souvent récidivant, le diagnostic peut être tardif. L’objectif de cette étude était d’évaluer le délai diagnostique des patients avec abcès à SA PVL+.
Il s’agissait d’une étude rétrospective monocentrique. Les patients adultes avec prélèvement chirurgical, d’abcès positif à SA PVL+ de 2007 à 2016 étaient inclus. L’étude était complétée par un questionnaire de pratiques adressé à 150 médecins généralistes, concernant leurs habitudes de prise en charge de patients avec abcès récidivants et leur niveau de connaissance concernant les SA PVL+.
Trente-cinq patients étaient identifiés par le service de microbiologie. Il s’agissait d’adultes jeunes (médiane d’âge à 28 ans), sexe ratio à 1, sans co-morbidité. Douze d’entre eux, (39 %) exerçaient une profession considérée comme à risque, 9 (23 %) pratiquaient un loisir considéré comme à risque. Dix-sept patients (55 %) présentaient des abcès récidivants, le délai diagnostique était supérieur à 6 mois pour 10 d’entre eux (32 %). La lésion amenant au diagnostic était le plus souvent axillaire (31 %), alors que les abcès précédents étaient le plus souvent localisés dans la région périnéale (59 %). Soixante-quatorze pourcents des SA étaient sensibles à la méticilline, les SARM étant significativement plus fréquents chez les patients ayant récemment voyagé hors d’Europe. Environ la moitié des 83 médecins généralistes répondeurs n’avaient aucune connaissance concernant le SA PVL+, alors que 55 % d’entre eux suivaient régulièrement des patients avec abcès récidivants.
Le délai diagnostic des abcès à SA PVL+ reste long, probablement lié 1/à la méconnaissance de cette pathologie en médecine de ville, 2/au caractère hors nomenclature de la PCR diagnostique, 3/à la fréquence des localisations périnéales avec absence de prélèvement diagnostique. Un algorithme basé sur les caractéristiques cliniques de l’abcès et son caractère récidivant a été développé à l’issue de ce travail ainsi qu’une consultation dédiée d’urgence reposant sur une alerte du service de Microbiologie. |
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Il s’agissait d’une étude rétrospective monocentrique. Les patients adultes avec prélèvement chirurgical, d’abcès positif à SA PVL+ de 2007 à 2016 étaient inclus. L’étude était complétée par un questionnaire de pratiques adressé à 150 médecins généralistes, concernant leurs habitudes de prise en charge de patients avec abcès récidivants et leur niveau de connaissance concernant les SA PVL+.
Trente-cinq patients étaient identifiés par le service de microbiologie. Il s’agissait d’adultes jeunes (médiane d’âge à 28 ans), sexe ratio à 1, sans co-morbidité. Douze d’entre eux, (39 %) exerçaient une profession considérée comme à risque, 9 (23 %) pratiquaient un loisir considéré comme à risque. Dix-sept patients (55 %) présentaient des abcès récidivants, le délai diagnostique était supérieur à 6 mois pour 10 d’entre eux (32 %). La lésion amenant au diagnostic était le plus souvent axillaire (31 %), alors que les abcès précédents étaient le plus souvent localisés dans la région périnéale (59 %). Soixante-quatorze pourcents des SA étaient sensibles à la méticilline, les SARM étant significativement plus fréquents chez les patients ayant récemment voyagé hors d’Europe. Environ la moitié des 83 médecins généralistes répondeurs n’avaient aucune connaissance concernant le SA PVL+, alors que 55 % d’entre eux suivaient régulièrement des patients avec abcès récidivants.
Le délai diagnostic des abcès à SA PVL+ reste long, probablement lié 1/à la méconnaissance de cette pathologie en médecine de ville, 2/au caractère hors nomenclature de la PCR diagnostique, 3/à la fréquence des localisations périnéales avec absence de prélèvement diagnostique. Un algorithme basé sur les caractéristiques cliniques de l’abcès et son caractère récidivant a été développé à l’issue de ce travail ainsi qu’une consultation dédiée d’urgence reposant sur une alerte du service de Microbiologie.</description><identifier>ISSN: 0399-077X</identifier><identifier>EISSN: 1769-6690</identifier><identifier>DOI: 10.1016/j.medmal.2017.03.059</identifier><language>fre</language><publisher>Paris: Elsevier SAS</publisher><ispartof>Médecine et maladies infectieuses, 2017-06, Vol.47 (4), p.S25-S25</ispartof><rights>2017</rights><rights>Copyright Elsevier Science Ltd. Jun 2017</rights><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><linktohtml>$$Uhttps://dx.doi.org/10.1016/j.medmal.2017.03.059$$EHTML$$P50$$Gelsevier$$H</linktohtml><link.rule.ids>314,780,784,3550,27924,27925,45995</link.rule.ids></links><search><creatorcontrib>Vuotto, F.</creatorcontrib><creatorcontrib>Bazin, M.</creatorcontrib><creatorcontrib>Loiez, C.</creatorcontrib><creatorcontrib>Douaud, M.</creatorcontrib><creatorcontrib>Filali, A.</creatorcontrib><creatorcontrib>Faure, K.</creatorcontrib><title>Parcours diagnostique des abcès à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton-Valentine</title><title>Médecine et maladies infectieuses</title><description>Staphylococcus aureus (SA) sécréteur de la leucocidine de Panton-Valentine (PVL) est responsable d’abcès cutanés chez le sujet jeune avec transmission intra-familiale ou au sein de collectivités. Malgré son caractère souvent récidivant, le diagnostic peut être tardif. L’objectif de cette étude était d’évaluer le délai diagnostique des patients avec abcès à SA PVL+.
Il s’agissait d’une étude rétrospective monocentrique. Les patients adultes avec prélèvement chirurgical, d’abcès positif à SA PVL+ de 2007 à 2016 étaient inclus. L’étude était complétée par un questionnaire de pratiques adressé à 150 médecins généralistes, concernant leurs habitudes de prise en charge de patients avec abcès récidivants et leur niveau de connaissance concernant les SA PVL+.
Trente-cinq patients étaient identifiés par le service de microbiologie. Il s’agissait d’adultes jeunes (médiane d’âge à 28 ans), sexe ratio à 1, sans co-morbidité. Douze d’entre eux, (39 %) exerçaient une profession considérée comme à risque, 9 (23 %) pratiquaient un loisir considéré comme à risque. Dix-sept patients (55 %) présentaient des abcès récidivants, le délai diagnostique était supérieur à 6 mois pour 10 d’entre eux (32 %). La lésion amenant au diagnostic était le plus souvent axillaire (31 %), alors que les abcès précédents étaient le plus souvent localisés dans la région périnéale (59 %). Soixante-quatorze pourcents des SA étaient sensibles à la méticilline, les SARM étant significativement plus fréquents chez les patients ayant récemment voyagé hors d’Europe. Environ la moitié des 83 médecins généralistes répondeurs n’avaient aucune connaissance concernant le SA PVL+, alors que 55 % d’entre eux suivaient régulièrement des patients avec abcès récidivants.
Le délai diagnostic des abcès à SA PVL+ reste long, probablement lié 1/à la méconnaissance de cette pathologie en médecine de ville, 2/au caractère hors nomenclature de la PCR diagnostique, 3/à la fréquence des localisations périnéales avec absence de prélèvement diagnostique. Un algorithme basé sur les caractéristiques cliniques de l’abcès et son caractère récidivant a été développé à l’issue de ce travail ainsi qu’une consultation dédiée d’urgence reposant sur une alerte du service de Microbiologie.</description><issn>0399-077X</issn><issn>1769-6690</issn><fulltext>true</fulltext><rsrctype>article</rsrctype><creationdate>2017</creationdate><recordtype>article</recordtype><recordid>eNp9kMtKAzEUhoMoWKtv4CLgesbc5rYRRLxBwYIX3IU0F02ZTmqSEfs2Lu1zzIuZMq5dHTjn-__D_wNwilGOES7Pl_lKq5Voc4JwlSOao6LZAxNclU1Wlg3aBxNEmyZDVfV6CI5CWCJEEosmwMyFl673ASor3joXov3oNVQ6QLGQw0-Awzd8jGL9vmmddFL26dB7nUYYttIP26h7n3jYChjdl-12YjgXXXRd9iJa3cW0OwYHRrRBn_zNKXi-uX66ustmD7f3V5ezTGJSs8zUSumCGmNYwSpNSqoIpRRriSQ2hcCiNmWj1IKkVIZIhhk1C0OVYTWiZU2n4Gz0XXuXcoTIlylcl15yghHDVY0JSxQbKeldCF4bvvZ2JfyGY8R3jfIlHxvlu0Y5ojw1mmQXo0ynBJ9Wex6k1Z3UynotI1fO_m_wC5FlhOs</recordid><startdate>201706</startdate><enddate>201706</enddate><creator>Vuotto, F.</creator><creator>Bazin, M.</creator><creator>Loiez, C.</creator><creator>Douaud, M.</creator><creator>Filali, A.</creator><creator>Faure, K.</creator><general>Elsevier SAS</general><general>Elsevier Science Ltd</general><scope>AAYXX</scope><scope>CITATION</scope><scope>7QL</scope><scope>7QO</scope><scope>7T5</scope><scope>7T7</scope><scope>7U9</scope><scope>8FD</scope><scope>C1K</scope><scope>FR3</scope><scope>H94</scope><scope>M7N</scope><scope>P64</scope></search><sort><creationdate>201706</creationdate><title>Parcours diagnostique des abcès à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton-Valentine</title><author>Vuotto, F. ; Bazin, M. ; Loiez, C. ; Douaud, M. ; Filali, A. ; Faure, K.</author></sort><facets><frbrtype>5</frbrtype><frbrgroupid>cdi_FETCH-LOGICAL-c1284-f8dde53fff4547e263d23331ec0c1f5a1a8f69ddb2690f2c4143fbf3df4803683</frbrgroupid><rsrctype>articles</rsrctype><prefilter>articles</prefilter><language>fre</language><creationdate>2017</creationdate><toplevel>online_resources</toplevel><creatorcontrib>Vuotto, F.</creatorcontrib><creatorcontrib>Bazin, M.</creatorcontrib><creatorcontrib>Loiez, C.</creatorcontrib><creatorcontrib>Douaud, M.</creatorcontrib><creatorcontrib>Filali, A.</creatorcontrib><creatorcontrib>Faure, K.</creatorcontrib><collection>CrossRef</collection><collection>Bacteriology Abstracts (Microbiology B)</collection><collection>Biotechnology Research Abstracts</collection><collection>Immunology Abstracts</collection><collection>Industrial and Applied Microbiology Abstracts (Microbiology A)</collection><collection>Virology and AIDS Abstracts</collection><collection>Technology Research Database</collection><collection>Environmental Sciences and Pollution Management</collection><collection>Engineering Research Database</collection><collection>AIDS and Cancer Research Abstracts</collection><collection>Algology Mycology and Protozoology Abstracts (Microbiology C)</collection><collection>Biotechnology and BioEngineering Abstracts</collection><jtitle>Médecine et maladies infectieuses</jtitle></facets><delivery><delcategory>Remote Search Resource</delcategory><fulltext>fulltext</fulltext></delivery><addata><au>Vuotto, F.</au><au>Bazin, M.</au><au>Loiez, C.</au><au>Douaud, M.</au><au>Filali, A.</au><au>Faure, K.</au><format>journal</format><genre>article</genre><ristype>JOUR</ristype><atitle>Parcours diagnostique des abcès à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton-Valentine</atitle><jtitle>Médecine et maladies infectieuses</jtitle><date>2017-06</date><risdate>2017</risdate><volume>47</volume><issue>4</issue><spage>S25</spage><epage>S25</epage><pages>S25-S25</pages><issn>0399-077X</issn><eissn>1769-6690</eissn><abstract>Staphylococcus aureus (SA) sécréteur de la leucocidine de Panton-Valentine (PVL) est responsable d’abcès cutanés chez le sujet jeune avec transmission intra-familiale ou au sein de collectivités. Malgré son caractère souvent récidivant, le diagnostic peut être tardif. L’objectif de cette étude était d’évaluer le délai diagnostique des patients avec abcès à SA PVL+.
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Trente-cinq patients étaient identifiés par le service de microbiologie. Il s’agissait d’adultes jeunes (médiane d’âge à 28 ans), sexe ratio à 1, sans co-morbidité. Douze d’entre eux, (39 %) exerçaient une profession considérée comme à risque, 9 (23 %) pratiquaient un loisir considéré comme à risque. Dix-sept patients (55 %) présentaient des abcès récidivants, le délai diagnostique était supérieur à 6 mois pour 10 d’entre eux (32 %). La lésion amenant au diagnostic était le plus souvent axillaire (31 %), alors que les abcès précédents étaient le plus souvent localisés dans la région périnéale (59 %). Soixante-quatorze pourcents des SA étaient sensibles à la méticilline, les SARM étant significativement plus fréquents chez les patients ayant récemment voyagé hors d’Europe. Environ la moitié des 83 médecins généralistes répondeurs n’avaient aucune connaissance concernant le SA PVL+, alors que 55 % d’entre eux suivaient régulièrement des patients avec abcès récidivants.
Le délai diagnostic des abcès à SA PVL+ reste long, probablement lié 1/à la méconnaissance de cette pathologie en médecine de ville, 2/au caractère hors nomenclature de la PCR diagnostique, 3/à la fréquence des localisations périnéales avec absence de prélèvement diagnostique. Un algorithme basé sur les caractéristiques cliniques de l’abcès et son caractère récidivant a été développé à l’issue de ce travail ainsi qu’une consultation dédiée d’urgence reposant sur une alerte du service de Microbiologie.</abstract><cop>Paris</cop><pub>Elsevier SAS</pub><doi>10.1016/j.medmal.2017.03.059</doi></addata></record> |
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